Source : Site du Festival International de la BD d'Angoulême
Merci à Julie Rhéaume pour ces renseignements.
En contrepoint à la présentation de leur travail, Dupuy &
Berberian ont souhaité que l’exposition qui leur est consacrée ouvre une
fenêtre sur les nouveaux auteurs d’aujourd’hui.
C’est la raison d’être de l’invitation adressée à Florent Ruppert et Jérôme
Mulot, les auteurs du remarqué
« Panier de singe » (L’Association, 2006), lauréats de l’Essentiel Révélation lors de la 34e édition du Festival.
Une forme de connivence avec deux auteurs qui, eux aussi, partagent
l’intégralité du processus de création sans en passer par la
traditionnelle opposition dessin / scénario, en même temps qu’un
passage de relais symbolique à la bande dessinée de nouvelle
génération.
Libres de donner à leur intervention la forme de leur choix, Ruppert
et Mulot ont opté pour un travail collectif intitulé « La Maison Close
».
Cette exposition-événement rassemblant une vingtaine d’auteurs reprend le principe du
«championnat de bras de fer» que Ruppert et Mulot développent sur leur
site Internet : des joutes graphiques où chaque auteur participant met
en scène son propre personnage et ses propres
dialogues, Ruppert et Mulot jouant à la fois le rôle de décorateurs et
d’arbitres.
Pour la circonstance, cette confrontation dessinée réunissant aussi
bien des auteurs hommes que femmes s’inscrira dans l’espace d’une maison
close peuplée de ses femmes faciles et de ses clients
avec toutes les conséquences logiques ou illogiques que peut entraîner
ce mélange des rôles, des sexes et des genres — mais chut, ne dévoilons
pas davantage une installation- « happening » qui
devrait en surprendre plus d’un… Outre son installation physique au
sein de l’exposition Dupuy & Berberian, « La Maison Close » mise en
place par Ruppert et Mulot prendra également la forme
d’une bande dessinée en ligne à suivre sur le site du Festival...
Pour accéder au menu de La maison
close, cliquez sur les personnages pour accéder à leur "BD".
Pour visualiser l'intervention d' Emile Bravo
c'est ici
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