Un nouvel ami de jules vient de franchir la porte de se blog… Jacques Terpant.
Originaire du dauphinois, notre ami est multi carte : Auteur, illustrateur, dessinateur et même peintre à ses heures. Passionné de BD depuis son tout jeune âge, il a suivi les cours des Arts décoratifs de Grenoble en 1976, puis aux Beaux-arts de Saint-Étienne ou il rencontre une bande de copains comme Yves Chaland, Luc Cornillon, Jean-François Biard, Michel Bellon, Francis Vallés ou Bruno Gaccio.
Il réalise d’ailleurs son premier album Branle bas de combat en 1982 avec Luc Cornillon.
Séduit par l’œuvre du romancier Jean Raspail, il a peint son portrait et l’a convaincu d’accepter l’adaptation d’un de ses romans en bande dessinée. Le premier tome des Sept Cavaliers ’’La Margrave héréditaire’’ est paru aux éditions Robert Laffont, propriétaire des droits et se poursuit ensuite chez Delcourt qui réimprimera le premier tome avec quelques dessins, une nouvelle couverture et des textes inédits.
S’en suivra le tome 2 ’’Le prix du
sang’’ et le tome 3 ’’Le Pont de Sépharée’’. Cette trilogie est saluée par la
critique comme une réussite.
Ces trois albums seront le premier cycle de la saga qu'il consacre aux Pikkendorff, famille mythique de l'œuvre de Jean Raspail ; un deuxième cycle le Royaume de Borée voit le jour en 2011 avec la parution d’Oktavius le premier tome d'un cycle de trois.
Cette nouvelle étape dans son travail l'impose définitivement comme un auteur complet du 9e art.Dans le dictionnaire mondial de la bande dessinée paru chez Larousse le long article qui lui est consacré termine par ces mots : « Jacques Terpant a acquis au fil des planches un style personnel des plus réalistes où se mêlent la maîtrise des volumes et la sensualité ».
En 2013 sort le 2ème tome ’’Henrick’’ et en 2014 le dernier ’’Tristan’’. En 2015 il commence un nouveau diptyque : ’’Capitaine perdu’’ dont le deuxième et dernier volet est sorti en octobre 2016.Une histoire inspirée de la vie de Louis Groston de Bellerive de Saint Ange.
Ces trois albums seront le premier cycle de la saga qu'il consacre aux Pikkendorff, famille mythique de l'œuvre de Jean Raspail ; un deuxième cycle le Royaume de Borée voit le jour en 2011 avec la parution d’Oktavius le premier tome d'un cycle de trois.
Cette nouvelle étape dans son travail l'impose définitivement comme un auteur complet du 9e art.Dans le dictionnaire mondial de la bande dessinée paru chez Larousse le long article qui lui est consacré termine par ces mots : « Jacques Terpant a acquis au fil des planches un style personnel des plus réalistes où se mêlent la maîtrise des volumes et la sensualité ».
En 2013 sort le 2ème tome ’’Henrick’’ et en 2014 le dernier ’’Tristan’’. En 2015 il commence un nouveau diptyque : ’’Capitaine perdu’’ dont le deuxième et dernier volet est sorti en octobre 2016.Une histoire inspirée de la vie de Louis Groston de Bellerive de Saint Ange.
Après ses adaptations des romans de
Jean Raspail, c'est dans l’un de ses livres de voyages que Jacques Terpant
apprend l'existence, sur les bords du Mississippi, de Saint Ange, le dernier
des capitaines français qui dut remettre aux Anglais les clés de toute
l'Amérique.
Il signe en deux tomes et en couleurs directes une fresque de cette épopée ignorée, qui signa la fin du premier empire colonial.
Il signe en deux tomes et en couleurs directes une fresque de cette épopée ignorée, qui signa la fin du premier empire colonial.
Le pitch de l’histoire :
« En
1763. Suite au traité qui met fin à la guerre de Sept Ans, Le Roi de France
cède l'Amérique aux Anglais. Mais contrairement à ce que pensait Voltaire, il
ne s'agit pas de quelques arpents de neige, mais de l'équivalent du Canada
d'aujourd'hui et d'une vingtaine d'États des États-Unis. Alors que les soldats
français, peu nombreux, abandonnent leurs possessions aux tuniques rouges, les
Indiens se soulèvent, et sous le drapeau à fleurs de lys du Roi de France,
menés par le chef Pontiac, ils reprennent les fortifications des Français.
À fort de Chartres, sur les bords du Mississippi, le dernier des capitaines français en place, devra remettre l’ultime fort à l'Anglais. Mais comment abandonner ses alliés Indiens avec lesquels on a vécu, et parfois pris femme ? Comment obéir aux ordres du Roi sans les trahir ? Comment les aider sans se perdre ? Mais au fond, que veut vraiment le Roi ? »
À fort de Chartres, sur les bords du Mississippi, le dernier des capitaines français en place, devra remettre l’ultime fort à l'Anglais. Mais comment abandonner ses alliés Indiens avec lesquels on a vécu, et parfois pris femme ? Comment obéir aux ordres du Roi sans les trahir ? Comment les aider sans se perdre ? Mais au fond, que veut vraiment le Roi ? »
En 2015 il édite avec le soutien ’’d’édinautes’’
chez Sandawe un recueil « L’imagier de Jacques Terpant ».
Durant sa carrière et parallèlement à la bande dessinée, il s'est beaucoup consacré à l'illustration. Depuis ses débuts à Métal Hurlant qui coïncident avec les belles années de la publicité, grande consommatrice à cette époque de dessinateurs, en passant par l'édition jeunesse, un ouvrage érotique avec Françoise Rey, des affiches de manifestations littéraires, des tirages limités, ce qu'il a voulu nommer son « Imagier », est plus qu'une compilation, c'est le parcours illustré, d'une vie consacrée au dessin.
Cet ouvrage est toujours disponible en s’adressant à l’auteur via son site , sa page Face Book ou son blog
Durant sa carrière et parallèlement à la bande dessinée, il s'est beaucoup consacré à l'illustration. Depuis ses débuts à Métal Hurlant qui coïncident avec les belles années de la publicité, grande consommatrice à cette époque de dessinateurs, en passant par l'édition jeunesse, un ouvrage érotique avec Françoise Rey, des affiches de manifestations littéraires, des tirages limités, ce qu'il a voulu nommer son « Imagier », est plus qu'une compilation, c'est le parcours illustré, d'une vie consacrée au dessin.
Cet ouvrage est toujours disponible en s’adressant à l’auteur via son site , sa page Face Book ou son blog
Bande-annonce de son imagier:
Son fan-art représente une rencontre très improbable, dans les environs de Nérac, entre le petit Jules et un des héros de son ami Yves Chaland, trop tôt disparu, ’’Le jeune Albert’’.
Notre ami jules, n’a pas l’air vraiment enchanté par cette rencontre...
Merci Jacques*.
*Mieux qu’un ami… Un auteur de talent.
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