Le 11 octobre 2018
"Mon propos c'était de faire revivre à Spirou mais aussi à Fantasio l'espoir de la fin de la Seconde Guerre mondiale, c'était de parler de l'éveil d'un enfant en temps de guerre. Chaque fois que j'ai croisé un enfant qui avait vécu ça, j'ai eu besoin de lui poser la question.
Le dessin est au service de l'histoire, je ne suis pas dans l'esthétisme. Le dessin n'est qu'un outil pour parler d'une histoire. Ce qui m'intéressait, c'était de me plonger dans cette époque de la Grande guerre à travers des écrits, des documents, sans jugement, factuel. Il suffit de prendre ses personnages et de les faire vivre, survivre, entre la faim et la peur."
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