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dimanche 3 juin 2018

Résultats de la vente aux enchères d'Erlangen du 02 juin 2018.

Copyright ErlangenLa vente aux enchères d'Erlangen, au profit de Sea Shepherd Deutschland, une organisation qui se consacre à la protection des mers, a rapportée 7900€.
La planche n° 40 (page 42), d'une épatante aventure de Jules - Un plan sur la comète a quant à elle fait 2100€.
Merci à Reinhard Kleist.



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mardi 5 juin 2012

Un nouveau prix, pour un plan sur la comète...

Emile Bravo a reçu le Prix des collégiens pour "Un plan sur la Comète" lors de la deuxième édition du festival Bédécibels à Antibes Juan les Pins (organisé par "l'association Basilic".



Photo Bédécibels 2012

lundi 23 janvier 2012

Un plan sur la comète chez un amour de BD.

Une nouvelle critique d'un plan sur la comète, de Jacques dans un amour de BD  du 21 décembre 2011.
 
Extrait :  
Que du bonheur de lire cette nouvelle aventure de Jules. Seule ombre au tableau : Jules a vécu de nombreuses aventures dans les tomes précédents et comme il grandit à chaque fois, cette nouvelle aventure est parsemée de références et de personnages récurrents des précédents tomes. Ce qui n’est pas vraiment aisé si on débarque dans son univers.
Heureusement, Bravo, scénariste et dessinateur ne recherche pas l’expression graphique avant tout. Son but : raconter une histoire à ses lecteurs ; les instruire, tout en les distrayant. Donc, fort logiquement, sa mise en place est très simple. Beaucoup de dialogues, pas de plans et de perspectives complexes et beaucoup d’expressions puisqu’il s’intéresse à la psychologie de ses personnages. Cette bande dessinée est hyper lisible et agréable à découvrir. Sa densité narrative et de lecture en fait un objet plus long à lire que beaucoup d’autres. Ce qui n’est pas pour me déplaire. On l’impression d’en avoir pour son argent.
Comme vous l’avez compris, j’adore Émile Bravo : son univers simple, qui me rappelle les “Spirou” de ma jeunesse, par ses aventures, ses gags. La différence pourtant est sensible : sa modernité de ton et de situation.

mardi 3 janvier 2012

Jules - Meilleur album jeunesse chez BDGest' Arts 2011

Du 15 décembre 2011 au 2 janvier 2012 a eu lieu sur le site BDGest.com ses traditionnels BDGest’Art. 
 
Après 18 jours et 2066 votes, le classement définitif est:


1er - Jules (Une épatante aventure de) -6- Un plan sur la comète  349  
2- Celle que... -3- je suis  280
3 - Marsu Kids -1- Sorti de l'oeuf  278
4- Les Nombrils -5- Un couple d'enfer  236
5 - Talisman -3- Le Chaperon Rouge  210
6 - Waluk  163
7 - Mamette (les souvenirs de) -2- Le Chemin des écoliers  152
8 - La Saga d'Atlas et Axis -1- Tome 1  139
9- L'Honneur des Tzarom -2- Le Théorème de l'exfiltration  138
10 - Chi - Une vie de chat -6- Tome 6  121
 
Vous pouvez retrouver le palmares complet des BDGest' Art 2011 Ici
 
Extrait de l'article: "Il est dit qu’Emile Bravo occupera toujours le haut du podium du côté de BDGest à chaque sortie d’album. Prix du Jury en 2006 avec la précédente Épatante aventure de Jules, lauréat en catégorie Jeunesse en 2007 avec Maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill (Gallimard) co-signé avec Jean Regnaud, Meilleur album de l’année 2008 avec Le journal d’un ingénu (Dupuis) avec lequel il ramenait les plus égarés d’entre nous vers Spirou , le voici donc couronné avec Un plan sur la comète (Dargaud). Avec le talent qu’on lui connait, E. Bravo invite toujours les plus jeunes à réfléchir à quelques sujets de société (le pouvoir des firmes, la préservation de l’environnement, les relations entre adultes) abordés en évitant toujours d’être moralisateur ou pontifiant. Placé sous le signe d’un burlesque plus prégnant que d’ordinaire, l’album appartient incontestablement à la catégorie de ceux que les « pères de famille » (les mamans aussi soyons-en sûrs) adorent prescrire à leur progéniture… sans oublier de les lire au passage, pour leur propre plaisir." 
 
Rendez vous est donné pour la fin du mois de janvier, lors du festival International de la BD à Angoulême où Jules est nominé pour le prix Tournesol (décerné le 27 janvier 2012 en marge du Festival. Ce prix récompense un album paru dans l'année écoulée qui illustre une ou plusieurs des valeurs de l'écologie politique) ainsi que dans la sélection jeunesse du festival d'Angoulême 2012.
 Bonne chance à notre petit Jules, dans cette nouvelle aventure.  

vendredi 23 décembre 2011

Un plan sur la comète chez Bdflash à Rambouillet

Nouvelle critique de Clément de la librairie Bdflash Rambouillet le 22 décembre 2011
Extrait :
 
 
"Les histoires d’Émile Bravo (toujours aussi inspirées d'ailleurs) offrent différents degrés de lecture, aussi bien adaptées à un public jeunesse qu'à un lectorat adulte en mal d'humour et d'aventures. Avec ces histoire denses qui révèlent à chaque fois une panoplie de seconds rôles tous plus fous les uns que les autres, Emile Bravo réussit le pari de créer un vrai univers réfléchi dans son ensemble où chaque personnage évolue au fil des volumes. Tout comme Hergé en son temps, Émile Bravo avec son dessin en « ligne claire » réussit a s'amuser avec ses personnages (notamment avec son bestiaire d’extra-terrestres) tout en arrivant a représenter parfaitement les caractères et sentiments de chacun.
Un plan sur la comète est donc un de ses petits bijoux attendu depuis tellement longtemps qu'il ne peut jamais décevoir. Drôle, profond et surtout vraiment fourni (80 pages), ce sixième tome est un indispensable pour tous les âges et tous les fans."

samedi 26 novembre 2011

Un plan sur la comète chez Soleil Vert

Une nouvelle critique chez Soleil Vert
Extrait:
"Le 6e tome, Un plan sur la Comète, est sûrement le meilleur. D'abord parce qu'il est plus dense, plus long. On sent que les héros ont grandi, mûri. Ils peuvent donc aborder des questions plus ou moins compliquées et d'une actualité flagrante. On y parle de la crise, de politique, d'exploitation des ressources pour le simple profit de quelques uns. De plus cet album renvoie moins aux précédents, on peut donc l'aborder facilement pour découvrir la série. Bref Jules, c'est vraiment chouette."

jeudi 17 novembre 2011

Un plan sur la comète chez "Super Héros"

Pour la sortie du tome 6 d’une aventure de Jules, un plan sur la comète, la librairie « Super Héros » vous offre pour l'achat du tome 6, un superbe ex-libris signé et numéroté à 250 exemplaires.

lundi 14 novembre 2011

Un plan sur la comète chez Viabooks

Nouvelle critique d'Antoine Oury, sur Viabooks le 13 novembre 2011
Extrait :
"D'habitude, quand on présente Emile Bravo, c'est en héritier de la ligne claire d'Hergé. Il perpétue la tradition, en quelque sorte. Mais l'auteur renommé, ex-membre de l'Atelier Nawak et de l'Association (Marjane Satrapi, Joann Sfar, les plus connus), ne se contente heureusement pas de si peu. Quand il dessine Spirou, pour Le Journal d'un Ingénu, c'est pour remonter à ses origines. Et quand il envoie ses personnages Jules et Janet dans l'espace avec Un plan sur la comète, le tome 6 de leurs aventures, c'est avec une bonne dose d'humour, des idées neuves et un soupçon de non-conformisme en guise de copilotes."

 

samedi 12 novembre 2011

Un plan sur la Comète chez BdaBd

Nouvelle critique d’Emmanuel sur BDaBD  
 
Extrait:
"Le dessin d’Emile Bravo est lui aussi très bien conçu, il s’inscrit dans la lignée de la Bande dessinée franco belge. Les détails sont soignés et les dessins des diverses formes extraterrestres se révèlent une fois de plus originaux et drôles.
Une excellente BD pour les adolescents, une bonne BD pour les adultes. Au final « Un plan sur la comète » est clairement une œuvre que je recommande pour les jeunes filles et garcons de 11 à 18 ans."

mercredi 28 septembre 2011

Entretien par BDgest, pour la sortie d'un plan sur la comète

Entretien avec Émile Bravo, par L. Gianati pour le site BDgest.

 
L'aventure Spirou étant passée par là, il a fallu attendre cinq ans pour découvrir, enfin, un nouvel album de Jules. Au programme de ce sixième tome : une fin du monde annoncée, des extra-terrestres (pas tous) rigolos, des politicards sans scrupule, des naufragés pas si désespérés etc..., le tout emballé dans un nouveau format qui offre de nombreuses pages supplémentaires. Que demander de plus ? Rien ? Ah si... Peut-être deux ou trois choses à Émile Bravo.
Cinq années se sont écoulées depuis les dernières aventures de Jules. Cette « pause » est-elle la conséquence d’autres projets ou avez-vous décidé de prendre un peu de recul par rapport à ce personnage ?
Il y a surtout eu entre-temps un album de Spirou. D’autre part, j’attends vraiment d’avoir quelque chose à dire, que mes histoires mûrissent bien avant de me lancer sur un nouvel album. Et puis, je n’ai pas vu le temps passer… Combien d’années vous dîtes ? (sourire)

Cinq ans. La question du Père est sorti en mai 2006.
On vit dans un monde qui va à toute allure… J’attendais vraiment le bon sujet. En règle générale, comme je m’adresse aux enfants, je souhaite raconter mes histoires de façon posée, à leur dire des choses qui les préparent au monde qui les entoure, tout en parlant aussi à leurs parents.

Cette aventure Spirou, c’était un rêve de gamin ? Avec le recul, comment l’avez-vous vécue ?
Ce n’était pas vraiment un rêve de gamin. Quand on m’a proposé ce projet, j’avais quelque chose à dire sur Spirou et les choses se sont faites naturellement. On me dit souvent « Cela a dû être lourd à porter de réaliser un album de Spirou ! ». Mais tout ça n’est QUE de la bande dessinée et je ne prends pas ça très au sérieux, comme beaucoup de choses d’ailleurs. J’ai juste trouvé ça marrant d’utiliser un personnage très populaire pour raconter une histoire très personnelle.

On parle d’un deuxième tome annoncé à l’horizon 2013. Pouvez-vous nous en dire quelques mots ?
C’est en tout cas ce qu’on a prévu, même si je n’aime pas trop travailler sur commande. Je veux me donner du temps, même si Dupuis aimerait bien que l’album sorte pour le 75ème anniversaire de la création de Spirou. Ce sera la suite du premier volume qui se déroulera également pendant l’Occupation. Quand on parle de « héros », rien de tel que cette période pour définir ce qu’est vraiment un héros. Ce sont plutôt les circonstances qui font un héros et non pas la nature même d’un être humain.

On retrouve Jules dans un format plus grand que les tomes précédents (78 pages contre 54 habituellement). Commenciez-vous à vous trouver un peu à l’étroit ?
Oui, j’avais besoin de cette liberté. Je commençais à en avoir assez de cette histoire de pagination. On ne demande jamais à un écrivain combien de pages va faire son roman. Pourquoi le demande-t-on à un auteur de bande dessinée ? Je sais très bien qu’il existe des contraintes techniques. On a souvent limité les albums pour enfants à un format de 46 pages. J’estime que si on rajoute une ou plusieurs pages supplémentaires, on peut raconter quelque chose de plus fort, sans avoir le souci de tout condenser. Goscinny était d’ailleurs un génie pour ça. Il parvenait à raconter des histoires fantastiques avec l’art de tout faire tenir dans un format de 46 pages. Mais n’est pas Goscinny qui veut. Il y a déjà suffisamment de contraintes dans la bande dessinée pour ne pas rajouter celle de la pagination. Quand un auteur a besoin de pages, il faut savoir les lui donner, en tout cas quand cela est justifié par l’histoire, ce qui, je pense, est mon cas. (sourire)

On se rend compte très vite de ce besoin d’espace en observant les deux premières planches du tome 6 de Jules qui sont pleine page…
Tout à fait, et c’est justifié par l’histoire. Je commence par parler de l’univers et j’utilise donc une pleine page. Je me vois mal faire tenir l’univers sur une seule case. (sourire) Cela fait son petit effet sur le lecteur. L’utilisation de la place est très importante. C’est un peu comme dans Spirou quand j’utilise une pleine page pour une scène de bombardement, c’est quelque chose qui marque.

Un plan sur la comète traite de la fin du monde. Quel est votre regard de scientifique sur l’évolution de la planète ?
L’espèce humaine est très jeune et ne parvient pas à voir plus loin que le bout de son nez. Elle se considère seule au monde et maîtresse de l’univers. On est en fait une espèce complètement adolescente qui essaye de s’imposer. C’est totalement puéril. Je suis très optimiste mais il faut quand même que chacun en prenne conscience, le plus tôt possible. C’est pour cela que je trouve important de raconter ce genre d’histoires à des enfants.

Justement, confier le sort de la planète à deux enfants, Janet et Jules, est-ce une façon de dire que chacun, à sa manière, peut agir pour sauvegarder le monde ?
Bien entendu. Tout cela va de toute façon se passer du côté des enfants, qui ne sont pas encore orthonormés comme les adultes. Je crois en l’humanité mais il faut agir et se sentir responsable, contrairement à nos gouvernants qui sont pour la plupart des adolescents attardés. (sourire)

Et pourtant, vous n’êtes pas très optimiste et confiant en la nature humaine. Même Madame Wilkins serait presque prête à se laisser soudoyer…
(sourire) Attendez, on ne sait pas si c’est du lard ou du cochon ! Vous savez, l’humour anglais… C’est plutôt une façon de dire que c’est aux enfants de travailler pour la planète, pas aux adultes. Mais c’est vrai, on a le droit de douter.

Pensez-vous que la bande dessinée est un bon moyen d’aborder tous les sujets avec les enfants ?
Bien sûr. C’est un excellent moyen de parler aux enfants, tout dépend de la façon dont on aborde les sujets. J’ai choisi de les traiter de façon ludique, ce qui me permet de toucher vraiment à tout. L’idée est de se mettre à la place de tout le monde, qu’un garçon se mette à la place d’une fille et inversement, par exemple. Notre problème est qu’on est souvent auto-centrés.

Les éditions Dargaud présentent Jules comme le « Tintin du 21e siècle ». Qu’en pensez-vous ?
C’est peut être une référence à mon style graphique… Hergé m’a appris beaucoup de choses et a développé, je pense, mon côté humaniste depuis tout petit. Si j’arrive à faire un dixième de ce qu’il a fait, ce sera déjà pas mal. (sourire)

Qu’est-ce qui vous a poussé vers une carrière dans la bande dessinée plutôt que vers une carrière scientifique ?
J’ai toujours raconté mes petites histoires en dessinant sans savoir que ça pouvait être un métier. Le jour où je l’ai compris, le choix m’a paru évident. C’est là où je crois beaucoup en l’humanité car je n’ai pas compris ça par moi-même. Il a fallu qu’on me dise « Fais-le ! ». Je pense qu’on a besoin des autres pour se comprendre soi-même.

Jules a donc été le moyen idéal de concilier vos deux passions…
Oui, mais c’était plus par plaisir d’aborder les thèmes scientifiques par un côté « transmission ». Je ne suis pas vraiment un scientifique… Je me destinais à une carrière d’ingénieur, surtout parce que ma famille me poussait à le faire. Ce sont plus des thèmes qui me tenaient à cœur étant gamin que j’ai voulu aborder dans Jules, comme la relativité qui était au centre du premier tome. Ce sont en fait des questions que je me posais enfant et dont l’école ne m’apportait pas souvent les solutions. J’aurais aimé lire à l’époque ce genre d’histoires qui m’auraient permis de comprendre plus rapidement le monde et donné les armes pour m’en sortir.

Un mot sur l’adaptation cinématographique de Maman est en Amérique…. Suivez-vous ce projet ou est-ce Jean Regnaud qui s’occupe de tout ?
C’est Jean Regnaud qui suit plus particulièrement ce projet. À ma connaissance, ils sont encore à la recherche de financements…

N’avez-vous jamais pensé à une adaptation de Jules sur petit ou grand écran ?
Je considère vraiment le cinéma comme un autre métier. Il y a autant de différences entre un écrivain et un cinéaste qu’entre un auteur de bande dessinée et un réalisateur de films d’animation. C’est quelque chose qui ne m’attire pas particulièrement.

Maintenant que la fin du monde a été évoquée dans le dernier tome de Jules, avez-vous déjà des idées sur d’autres thèmes pour le prochain ?
Il y encore beaucoup de choses à dire sur l’humanité, donc les sujets ne manquent pas, mais je n’y ai pas encore réfléchi. J’ai du mal à travailler sur deux sujets à la fois. Et là, il faut plutôt que je pense au prochain Spirou. J’en reviens au thème du mûrissement d’un projet. Je ne sais pas encore ce que je vais raconter mais je sais qu’au moment où je le ferai, ce sera nécessaire. À côté de ça, je travaille beaucoup pour l’illustration jeunesse. Je prépare également un nouveau Ours nains.  


Propos recueillis par L. Gianati
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samedi 28 mai 2011

Un plan sur la comète... La semaine prochaine dans Spirou n° 3817

Après deux ans de travail, le tome 6 des aventures de Jules va enfin voir le jour... 
Info: Spirou n°3806 du 23 mars 2011, page 23
Extrait:
« Au final il lui aura fallu deux ans pour mettre au point son histoire, recommençant et recommençant encore la fin jusqu'à en trouver une qui lui plaise en décembre 2010.
(Emile prend particulièrement soin de ses scénarios, car pour lui la bande dessinée est avant tout une écriture;) Du coup, on peut définitivement fixer à début juin la date de son retour dans SPIROU (n° 3817).
Champagne! Cela dit, on n'aura pas attendu pour rien, car c'est un sacré morceau qu'Emile nous a concocté: 74 planches, comme toujours très denses, avec plusieurs histoires dans l'histoire, des extraterrestres, une dangereuse comète, des hommes d'affaires puissants et un Jules qui va devoir tenter de sauver le monde! Ca promet! Titre de cet merveille? Un plan sur la comète. On n'en tirera pas en disant que vous allez adorer! »
 
Bientôt chez votre marchand de journaux... 

samedi 19 mars 2011

Un plan sur la comète... En juin dans Spirou n° 3817

Après deux ans de travail, le tome 6 des aventures de Jules va enfin voir le jour... 
Info: Spirou n°3806 du 23 mars 2011, page 23
Illustration de Berco


Extrait:
« Au final il lui aura fallu deux ans pour mettre au point son histoire, recommençant et recommençant encore la fin jusqu'à en trouver une qui lui plaise en décembre 2010.
(Emile prend particulièrement soin de ses scénarios, car pour lui la bande dessinée est avant tout une écriture;) Du coup, on peut définitivement fixer à début juin la date de son retour dans SPIROU (n° 3817).
Champagne! Cela dit, on n'aura pas attendu pour rien, car c'est un sacré morceau qu'Emile nous a concocté: 74 planches, comme toujours très denses, avec plusieurs histoires dans l'histoire, des extraterrestres, une dangereuse comète, des hommes d'affaires puissants et un Jules qui va devoir tenter de sauver le monde! Ca promet! Titre de cet merveille? Un plan sur la comète. On n'en tirera pas en disant que vous allez adorer! »
 
Vivement juin...