Une image extraite du périodique Astrapi n° 620.
Rubrique Truc à savoir page 30.
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dimanche 25 octobre 2009
samedi 24 octobre 2009
Astrapi n° 618
Une image extraite du périodique Astrapi n° 618.
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Spirou, le journal d'un ingénu sur du9 l'autre Bande Dessinée...
Source du9
Chronique de Xavier Guilbert en mai 2008
Spirou a soixante-dix ans, et pas une ride. C’est normal — Spirou fait partie de ces personnages atemporels, qui évoluent au fil des albums dans un « présent » immanent, et qui ne grandissent ni ne vieillissent. Les préoccupations changent, les lieux d’aventure se déplacent, la technologie repousse ses limites encore plus loin, mais Spirou demeure, résistant aux modes et au passage de témoin entre les différentes équipes qui ont présidé à sa destinée.
Spirou a soixante-dix ans, et Emile Bravo profite de cet anniversaire pour revenir aux sources. Certains ont voulu voir dans ce Journal d’un ingénu une sorte de « numéro zéro » à rattacher à la série, un récit qui en poserait le fondement et en marquerait le point de départ. Il n’en est rien — bien au contraire...
... Mais Emile Bravo sait qu’il va bientôt lui falloir rendre ces personnages à leur propriétaire, et laisser là les préoccupations qu’il a semées dans ces pages. C’est donc Fantasio, personnage à la vue courte, incapable d’embrasser la complexité du monde, qui va ramener l’histoire vers des horizons moins pessimistes. « Bon, gamin, tu nous lâches un peu avec ta guerre ? Spirou et moi, on doit discuter de choses d’adultes, ok ? » La page se tourne, et l’on est prêt à embrayer sur ce qui va suivre — presque cinquante albums d’aventures en tout genres, des « choses d’adultes », quoi.
Après trois essais infructueux, pêchant par excès de « jeunisme » (Les Géants Pétrifiés) ou jouant la carte d’un respect frisant la caricature (Les Marais du Temps et Le Tombeau des Champignac), cette « collection parallèle » trouve enfin avec ce Journal d’un ingénu une véritable relecture de son personnage, intelligente et subtile.
Pour lire la suite c'est ICI
Chronique de Xavier Guilbert en mai 2008
Spirou a soixante-dix ans, et pas une ride. C’est normal — Spirou fait partie de ces personnages atemporels, qui évoluent au fil des albums dans un « présent » immanent, et qui ne grandissent ni ne vieillissent. Les préoccupations changent, les lieux d’aventure se déplacent, la technologie repousse ses limites encore plus loin, mais Spirou demeure, résistant aux modes et au passage de témoin entre les différentes équipes qui ont présidé à sa destinée.
Spirou a soixante-dix ans, et Emile Bravo profite de cet anniversaire pour revenir aux sources. Certains ont voulu voir dans ce Journal d’un ingénu une sorte de « numéro zéro » à rattacher à la série, un récit qui en poserait le fondement et en marquerait le point de départ. Il n’en est rien — bien au contraire...
... Mais Emile Bravo sait qu’il va bientôt lui falloir rendre ces personnages à leur propriétaire, et laisser là les préoccupations qu’il a semées dans ces pages. C’est donc Fantasio, personnage à la vue courte, incapable d’embrasser la complexité du monde, qui va ramener l’histoire vers des horizons moins pessimistes. « Bon, gamin, tu nous lâches un peu avec ta guerre ? Spirou et moi, on doit discuter de choses d’adultes, ok ? » La page se tourne, et l’on est prêt à embrayer sur ce qui va suivre — presque cinquante albums d’aventures en tout genres, des « choses d’adultes », quoi.
Après trois essais infructueux, pêchant par excès de « jeunisme » (Les Géants Pétrifiés) ou jouant la carte d’un respect frisant la caricature (Les Marais du Temps et Le Tombeau des Champignac), cette « collection parallèle » trouve enfin avec ce Journal d’un ingénu une véritable relecture de son personnage, intelligente et subtile.
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vendredi 23 octobre 2009
Astrapi n° 618
Une image extraite du périodique Astrapi n° 618.
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Ma maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill sur du9 l'autre bande dessinée...
Source : du9
Chronique de Jessie Bi en Juin 2007
..... Le bonheur de ce livre est de ne jamais tomber dans la nostalgie et le « moi-je » autobiographique. C’est une histoire universelle, touchante, parlant de l’enfance à tous, ce qui explique peut-être qu’il ne soit pas édité par le Gallimard de Klezmer, mais par celui de la « jeunesse ». Sa mise en page est savante, dans un équilibre impeccable entre l’album dit de « bande dessinée » et celui dit de la « jeunesse » continuant d’explorer (ou profitant de) l’expérience Bréal d’il y a quelques années. A tout cela s’ajoute le rythme particulier des images de Bravo qui savait déjà se montrer à l’aise aussi bien dans les séquences muettes que dans celles les plus bavardes, et sait ici donner une profondeur modulée, colorée, entrant harmonieusement en résonance avec tout l’ouvrage.
Si vous souhaitez lire la suite c'est ICI
Chronique de Jessie Bi en Juin 2007
..... Le bonheur de ce livre est de ne jamais tomber dans la nostalgie et le « moi-je » autobiographique. C’est une histoire universelle, touchante, parlant de l’enfance à tous, ce qui explique peut-être qu’il ne soit pas édité par le Gallimard de Klezmer, mais par celui de la « jeunesse ». Sa mise en page est savante, dans un équilibre impeccable entre l’album dit de « bande dessinée » et celui dit de la « jeunesse » continuant d’explorer (ou profitant de) l’expérience Bréal d’il y a quelques années. A tout cela s’ajoute le rythme particulier des images de Bravo qui savait déjà se montrer à l’aise aussi bien dans les séquences muettes que dans celles les plus bavardes, et sait ici donner une profondeur modulée, colorée, entrant harmonieusement en résonance avec tout l’ouvrage.
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mercredi 21 octobre 2009
Astrapi n° 616
Une image extraite du périodique Astrapi n° 616.
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mardi 20 octobre 2009
Télérama du 15 au 20 Juillet 2006 n°2948
Carte blanche à Émile Bravo dans le Télérama du 15 au 20 Juillet 2006.
Pendant l'été 2006, Télérama a demandé à six créateurs de réaliser 4 pages inédites...
Émile Bravo a répondu présent...
S'il y a une chose dont il est sûr, c'est qu' "on raconte n'importe quoi aux enfants". Alors, un beau jour, Émile Bravo a imaginé qu'il pourrait se servir de la bande dessinée pour faire - un peu - bouger les choses.
Raconter le monde aux enfants comme il est, et pas comme les adultes voudraient leur faire croire qu'il est. Aborder les "grandes questions" - la vie, la mort, et pourquoi pas Dieu? - par le versant peu fréquenté de la science , vulgarisée avec une fantaisie qui détricote les idées reçues et titille la curiosité... Ainsi est né Jules, à la fin des années 90, un jeune ado malin, sans problèmes (sauf ceux que lui cause son crétin de frère aîné).
Son créateur va lui offrir une vue imprenable sur quelques mystères insondables, à travers voyage dans l'espace, expérience de clonage ou plongée dans la nuit des temps...
Une épatante aventure de Jules (titre générique de la série), c'est ce qui est arrivé de mieux depuis belle lurette à la BD "pour la jeunesse". La preuve : aujourd'hui, après cinq épisodes - le cinquième, La question du père, est sorti en mai -, les fans de Jules n'ont plus d'âge.
Dès qu’Émile Bravo aborde ce qui ressemble à une croisade personnelle, ce quadra timide montre une ferveur volubile. Cet homme est capable de parler d'humanisme (à réinventer) ou de partage (de la culture) sans paraître prêcher. Et l'humour fait le reste : "Dans toute ma scolarité, les cinq profs qui m'ont inculqué quelque chose sont ceux dont le discours était teinté d'humour, qui savaient prendre de la distance..."
On s'en doutait, l'enfance d’Émile Bravo est la clé d'une approche de la BD, mine de rien, trés élaborée. Il le dit : "Je suis sorti de l'adolescence, pas de l'enfance."
Et aussi : "J'ai créé Jules pour parler à l'enfant que j'étais. Et répondre aux questions auxquelles l'école ne donnait pas de réponse."...
Source : Télérama
Entretien : Jean Claude Loiseau
Pendant l'été 2006, Télérama a demandé à six créateurs de réaliser 4 pages inédites...
Émile Bravo a répondu présent...
S'il y a une chose dont il est sûr, c'est qu' "on raconte n'importe quoi aux enfants". Alors, un beau jour, Émile Bravo a imaginé qu'il pourrait se servir de la bande dessinée pour faire - un peu - bouger les choses.
Raconter le monde aux enfants comme il est, et pas comme les adultes voudraient leur faire croire qu'il est. Aborder les "grandes questions" - la vie, la mort, et pourquoi pas Dieu? - par le versant peu fréquenté de la science , vulgarisée avec une fantaisie qui détricote les idées reçues et titille la curiosité... Ainsi est né Jules, à la fin des années 90, un jeune ado malin, sans problèmes (sauf ceux que lui cause son crétin de frère aîné).
Son créateur va lui offrir une vue imprenable sur quelques mystères insondables, à travers voyage dans l'espace, expérience de clonage ou plongée dans la nuit des temps...
Une épatante aventure de Jules (titre générique de la série), c'est ce qui est arrivé de mieux depuis belle lurette à la BD "pour la jeunesse". La preuve : aujourd'hui, après cinq épisodes - le cinquième, La question du père, est sorti en mai -, les fans de Jules n'ont plus d'âge.
Dès qu’Émile Bravo aborde ce qui ressemble à une croisade personnelle, ce quadra timide montre une ferveur volubile. Cet homme est capable de parler d'humanisme (à réinventer) ou de partage (de la culture) sans paraître prêcher. Et l'humour fait le reste : "Dans toute ma scolarité, les cinq profs qui m'ont inculqué quelque chose sont ceux dont le discours était teinté d'humour, qui savaient prendre de la distance..."
On s'en doutait, l'enfance d’Émile Bravo est la clé d'une approche de la BD, mine de rien, trés élaborée. Il le dit : "Je suis sorti de l'adolescence, pas de l'enfance."
Et aussi : "J'ai créé Jules pour parler à l'enfant que j'étais. Et répondre aux questions auxquelles l'école ne donnait pas de réponse."...
Source : Télérama
Entretien : Jean Claude Loiseau
lundi 19 octobre 2009
Astrapi n° 612
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Rubrique Truc à savoir page 30.
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dimanche 18 octobre 2009
Astrapi n° 661
Une image extraite du périodique Astrapi n° 661.
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samedi 17 octobre 2009
Astrapi n° 661
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