Affichage des articles dont le libellé est Vos chroniques. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Vos chroniques. Afficher tous les articles

jeudi 10 novembre 2011

Un plan sur la comète chez Hop-Blog

Nouvelle critique, par Benoit Richard sur Hop-Blog.fr  du 09 novembre 2011
 
Extrait:
"Comme dans ses précédents livres et notamment "Le Journal d'un ingénu" dans lequel il reprenait de façon magistrale le personnage de Spirou, Emile Bravo réussit encore une fois cette l’alchimie parfaite, avec d’un côté, un dessin ligne clair, un récit simple mais très intelligent et fantaisiste, accessible à tout, et de l’autre, un ton et des thèmes faisant référence au monde contemporain et à une certaine réalité actuelle, dans laquelle les plus grands y trouveront largement leur compte.
Avec finesse et intelligence, l’auteur livre ainsi un récit trépidant, aux dialogues remplis de clins d’œil. Une bande dessinée qui se lit d’une traite et que vous pourrez refiler sans problème à votre gamin ou à votre neveu."

lundi 31 octobre 2011

Un plan sur la comète chez Le Litteraire.com

Nouvelle critique de Pierre Chaffard-Luçon, sur Le Litteraire.com  du 28 octobre 2011
Extrait:
"D’un point de vue graphique l’œuvre ne change pas du style des précédents : Emile Bravo reste dans la ligne claire, c’est-à-dire dans un dessin au service de la narration où le superflu disparaît pour ne laisser place qu’à l’essentiel et permettre au lecteur de se concentrer sur l’histoire. Offrant un panel de personnages plus amusants les uns que les autres, c’est une BD très facile à lire qu’il faut avoir dans sa bibliothèque.
L’auteur est notamment connu pour avoir réalisé Le Journal d’un Ingénu, pour certains un des plus beaux Spirou depuis Franquin. Ne ratez donc pas le dernier Jules !"

dimanche 30 octobre 2011

Jules chez les Inrocks...

Une nouvelle critique sur le site Les Inrocks du 29 octobre 2011.
Extrait:
"Comme toujours, Emile Bravo mène son récit à un rythme trépidant. Même si l'histoire est pleine de fantaisie, le dessinateur l'ancre dans la réalité par ses allusions espiègles aux crises politique et économique actuelles et surtout par son thème - le développement durable. Mais c'est sans aucun prêchiprêcha qu'il sensibilise à cette cause. Plus responsables et raisonnables que les adultes, Jules et Janet ne sont pour autant jamais sentencieux ou rabat-joie mais dotés d'un solide second degré et d'un sens malin du sarcasme - brillamment exprimé dans des dialogues toujours très réalistes. Une fois de plus, et dans la lignée de Franquin (dont il avait par ailleurs repris Spirou avec brio dans Le Journal d'un ingénu), Emile Bravo réussit le pari de réconcilier adultes et enfants autour d'un livre au récit drôle, humaniste et universel."

vendredi 28 octobre 2011

Où il est encore question d'un plan sur la comète...

Deux nouvelles critiques...


 L'une par Romain Gallissot dans Bodoï, du 26 octobre 2011.
 
Extrait:
"La lecture se fait sur plusieurs niveaux, les dialogues et les dessins regorgent de clins d’oeil amusants qui interpellent sans cesse le lecteur. La ligne claire et limpide d’Émile Bravo est toujours aussi agréable, son trait vivant s’exprimant à merveille dans les grandes planches de ce bel album. Le découpage méthodique du récit s’apprécie grâce aux nombreuses cases qui se succèdent et s’organisent méthodiquement. Les dialogues, abondants, les personnages et les décors trouvent toujours un juste équilibre afin de permettre une lecture fluide, indispensable pour ne pas perdre le fil de cette histoire dense et rythmée. Cet album aux accents jeunesse saura, à n’en pas douter, convaincre les fans de la série, petits et grands. Émile Bravo nous prouve une nouvelle fois l’étendue de son talent."


L'autre par Sébastien Naeco dans Le Comptoir de la BD du 28 octobre 2011.
 
Extrait:
"La tonalité de l'album est résolument sombre, jusqu'au cynisme. On ne peut pas dire que les hommes aux manettes de la politique et de la finance trouvent une quelconque grâce aux yeux d'Emile Bravo. Ambitieux, cupides, caractériels, amoraux, ils sont terrifiants car ils ne se distinguent guère de leurs modèles plus ou moins avoués, un certain Président Salami en tête. Plus troublant encore, l'idée de faire se dérouler une partie importante de l'histoire sur un yacht où tous les gens "importants" de la planète font une fête costumée (grands enfants, va !) sans réaliser, à la manière des convives du Titanic, qu'ils vont à la catastrophe. Tous en chœur ils célèbrent une vision du monde où l'homme est écrasé au profit de l'argent et une certaine idée de la réussite sociale qui ne s'épanouit qu'en écrasant les autres. Le récit se conclut sur une fin douce amère où le Président Salami est réélu (misère !) mais où la Terre bien évidemment est sauvée tandis que Jules et sa famille traverse une crise sociale de première ampleur."
 

mercredi 26 octobre 2011

Jules, le renard... Dans le Républicain Lorrain

Deux nouvelles critiques...  
 
Par O. Jarrige dans le Républicain Lorrain, du 23 octobre 2011.
 
Extrait:
Émile Bravo est un nostalgique. Bon, ça arrive. Une part de notre société qui cultive le jeunisme est penchée en permanence au balcon des temps révolus, à y espérer l’inspiration du lendemain, quelques valeurs éparses. Le courage, la malice et l’humour de Spirou, par exemple. Le grand cœur de Tintin. Les héros d’autrefois n’ont plus de cousinage dans les séries tout terrain d’aujourd’hui. Blueberry a refilé sa vareuse à XIII, lui-même vieillissant. Lapinot, contemporain inactif, est mort écrasé…
Reste sur l’étal Emile Bravo et sa série Une épatante aventure de Jules. Le sixième tome est paru : Un plan sur la comète. Si la critique et le public sont enthousiastes, c’est justement parce qu’il réussit cela, le mélange entre contexte d’aujourd’hui et astuces d’hier, entre références archiconnues et interrogations de demain. Cette fois, une comète menace la Terre. Les gentils E.T. sont prêts à nous sauver, encore faut-il que nous le méritions… Jules marche dans les traces de Tintin, clairement. Mais aussi de Rahan, le fils de Craô, pour sa capacité à dénoncer – sans nuances – religions et croyances. Il a beau être ado, il lutte pour le Bien, secoue les adultes et parie sur les sciences. Le tout est lié par un humour décomplexé.
 
 
Par Jean Claude Loiseau dans Télérama, du 29 octobre 2011.
 
Extrait:
Il a ce don-là, Emile Bravo : il a gardé le contact avec l'enfant qu'il était et répond aux questions qu'il se posait alors quand il dessine pour les jeunes d'aujourd'hui. C'est mieux qu'une recette, un état d'esprit, et le sésame de sa série phare, Une épatante aventure de Jules, entamée en 1999, où chaque épisode ménage assez de rebondissements et de gags pour combler le public qu'elle vise, sans lâcher le fil rouge d'un thème supposé « adulte », du clonage humain à la dérive des religions, en passant par la maladie et la mort...

mardi 25 octobre 2011

ActuaBD et BDgest parlent d'un plan sur la comète.

Deux nouvelles critiques...  
 
par Actuabd, le 11 octobre 2011.
Extrait:
"Émile Bravo reconnaît que Jules est sa "tribune pour montrer aux enfants le monde" tel qu’il le perçoit. Quoi d’étonnant alors que des thèmes comme le clonage, le cancer, le pouvoir et l’argent se retrouvent dans cette remarquable série jeunesse?...
… Un album pessimiste? Point du tout. Le ton reste léger et plein d’humour, les références (à Tintin notamment) sont savoureuses et le graphisme enchanteur. Un vrai bonheur de lecture."
 
 
 
par T. Pinet sur BDgest le 25 octobre 2011. 
 
Extrait:
"Mélangeant humour et sujets graves, Bravo réussit l’alchimie parfaite entre la bande dessinée dite "jeunesse" et celle pouvant être considérée comme "engagée". Jamais barbant, le traitement de la lutte pour l’environnement est réalisé sous l’angle de l’aventure et de la course contre la montre. La morale est proscrite et seul le discours reste en filigrane sans qu’il soit pesant. Quelques envolées du jeune garçon laissent penser qu’il est bien plus mature qu’il en à l’air, mais le récit reste à la portée de tous malgré la consistance des textes, et la légèreté est bien omniprésente. Le trait fluide et tout en finesse se joue de la gravité grâce à un ton toujours rigolo, rehaussé par les attitudes de Tim et Salsifi à la limite de la loufoquerie.
Une génération, au moins, sera marquée par ces "épatantes aventures", comme ont pu l'être d'autres par un personnage comme Tintin ou Spirou. Si en prime le message est bien reçu, l’espoir est permis pour l’avenir de l’humanité."

vendredi 21 octobre 2011

Un plan sur la comète chez Focus VIF...

Une nouvelle critique sur les dernières aventures de Jules par Nicolas Clément sur Focus VIF.be le 20 octobre 2011
 
 
Extrait:
Focus: Un poil moralisateur, sans doute, l'album offre surtout le plaisir de renouer avec un univers rempli de savants fous, de voyages dans l'espace et d'inventions loufoques. Un peu comme si Tintin rencontrait Jamy, le binoclard je-sais-tout de l'émission C'est pas sorcier...
Emile Bravo: "Quand j'avais 10 ans, mon grand frère m'a parlé de la relativité: ça a été un choc. Notamment parce que ça répondait à des questions existentielles que je me posais déjà. Le Père Noël, les dragons, les princesses..., toutes ces conneries qu'on nous raconte quand on est gosses n'existent pas. Mais la relativité, c'était vrai. Et c'était carrément dingue comme histoire. D'où ma question: pourquoi on ne leur raconte pas ça, aux gamins? C'est ce que je fais aujourd'hui. Je leur parle du clonage, de la relativité du temps, de la question de Dieu, de la mort. Des choses essentielles qui "écrasent" leur ego et qui permettent de mettre les choses à plat. Dans cette optique de leur inculquer, avec humour et imagination, quelques notions de base pour aborder la vie."

Un plan sur la comète chez rtbf.be culture

Et une de plus...
par Jacques Schraûwen sur rtbf.be culture  le 10 octobre 2011.
 
 
 
Extrait:
"On pourrait croire à une bd bien sage, destinée exclusivement à un jeune public… Il est vrai que les adolescents se retrouveront dans cette histoire, dans les personnages qui y vivent d’une vie pleine et entière. Il est vrai également qu’Emile Bravo n’évite pas le piège d’un ton parfois trop moralisateur. Mais il le fait avec tendresse et clairvoyance, sans tomber dans les clichés.C’est pour cette raison que le lecteur adulte trouvera, lui aussi, son bonheur dans les « aventures épatantes de Jules ».
L’univers d’Emile Bravo mérite d’être connu, reconnu, partagé : simple sans être simpliste, efficace sans être manichéen, parlant d’enfance sans être enfantin, il nous offre l’image de notre monde et des rapports que nous avons avec lui, avec nos proches, avec nous-mêmes.
Cette bd, de par son intelligence, de par la fausse naïveté qui l’anime, fera plus que faire sourire tous ses lecteurs, adultes ou non. Rafraîchissante et intelligente, elle vous séduira tout comme elle m’a séduit."

mardi 18 octobre 2011

La BD de la semaine dans le Nouvel Observateur

Publié le 10 octobre 2011, par Laure Garcia dans Le Nouvel Observateur
"Preuve éclatante qu'une série peut d'ailleurs retenir l'attention sur la durée, voici la sixième «Epatante Aventure de Jules», fruit du brillant mais discret Émile Bravo, qui ne déçoit pas. Comme dans les volumes précédents, Bravo s'attaque une fois de plus à un fait scientifique.
Dans ce volume 6, «Un plan sur la comète», des extraterrestres viennent heureusement en aide à Jules, pour détourner cette fameuse comète de notre planète, et résoudre au passage les disputes de ses parents. Que d'humour et de simplicité dans cette délicieuse série (Dargaud, 80 p., 14,95 euros)!"

Le retour de Jules sur France Info

Une nouvelle critique sur les dernières aventures de Jules sur France Info par Jean Christophe Ogier le 25 septembre 2011.
 
"Jules et ses aventures épatantes sont aussi de retour. Enfin ! Il y a cinq ans déjà que paraissait « La question du père ». Voici, pour commencer l’année scolaire, « Un plan sur la comète ». Emile Bravo, le créateur de Jules, n’aime rien tant que proposer à ses jeunes lecteurs de réfléchir en s’amusant. Ici l’on parle de clonage, d’écologie, de voyage interstellaire. « Les épatantes aventures de Jules » réussissent aussi le mariage de l’esprit Spirou, humour et légèreté, et de l’influence Tintin pour la ligne claire, graphique et narrative.
Tradition et modernité : « Un plan sur la comète », Emile Bravo aux éditions Dargaud."

La BD Jeunesse de la semaine sur BDzoom.com

Une belle critique sur les dernières aventures de Jules sur BDzoom.com, par Catherine Gentile le 29 septembre 2011
 
Extrait:
"Décidément cette série de science-fiction loufoque et décalée, dessinée dans une ligne claire revisitée, est particulièrement intéressante. Ce nouvel album, tout comme les précédents, est une vraie réussite. Sous couvert de SF, c’est surtout de notre monde que parle Émile Bravo et de tous ses travers, par le biais de notations fines : les relations familiales et la place des parents, l’impact de la télévision, le monde factice et les manipulations médiatiques qu’elle engendre, la consommation et la publicité, l’argent qui prime sur l’humain, l’argent très mal partagé, le cynisme des puissants, et la terre exploitée. Mais le ton n’est pas grave, bien au contraire. L’on apprécie le récit rythmé, les références et les clins d’œil bienvenus, les dialogues toniques et pleins d’humour. Une série, un album à savourer, pour tous les publics !"

jeudi 13 octobre 2011

Un plan sur la comète chez "L'étrange bibliothèque de Calenwen"

Encore une belle critique sur les dernières aventures de Jules sur le blog de Calenwen...
 
Extrait:  
"(C’est purement personnel mais si j’aime qu’on me fasse réfléchir, j’aime que cela se fasse avec subtilité, pas en assénant la vérité à la grosse caisse et à la trompette)
Je le trouve aussi pertinent sur ces grandes questions de société que quand il met en scène la famille détraquée de Jules, où ses parents regardent chacun une télé de leur côté, en se tournant le dos, casque vissé sur les oreilles, tellement ils ne s’entendent plus. Même quand ils regardent le même programme !
Bref, une fois n’est pas coutume, je suis sous le charme, et j’espère bien retrouver Jules et Janet prochainement pour de nouvelles aventures. Je compte bien d’ici là investir dans les cinq premiers tomes, histoire de ne pas avoir à les emprunter à droite à gauche à chaque fois que prend l’envie d’en relire un…"
 
La suite de la chronique est ici: l'étrange bibliothèque de Calenwen

mercredi 5 octobre 2011

Un plan sur la comète chez 'Lire pour le plaisir"

Une nouvelle critique du dernier tome des aventures de Jules
Source Lire pour le plaisir
Auteur: Lire pour le plaisir
Du 05 octobre 2011.

Extrait:
 
"Comme d'habitude, Émile Bravo veut faire réfléchir ses jeunes lecteurs. Après la maladie, le clonage ou la mort, il aborde cette fois-ci la question de la place de l'homme dans l'univers. Le message est humaniste et écologique mais il cherche aussi à responsabiliser les enfants en leur faisant prendre conscience que nous sommes tous garants de la survie de notre planète. Pour autant, le propos n'est pas moralisateur. Les aventures de Jules sont toujours marquées par les situations cocasses, la pertinence des dialogues, la modernité du ton et l'humour omniprésent.
Entre sérieux et légèreté, cette série jeunesse d'une rare qualité brille par sa finesse et son intelligence. A mettre sans hésiter entre toutes les mains !"

vendredi 30 septembre 2011

Un plan sur la comète chez "une autre histoire"

Une nouvelle critique du dernier tome des aventures de Jules
Source Une autre histoire
Auteur: David Fournol
Du 26 Septembre 2011.
 
Extrait:
"Une nouvelle aventure de Jules, c’est toujours du bonheur. Jules est un héros tendre, et drôle comme il en existe peu dans la bande dessinée pour enfant. Il faut dire que son auteur, Emile Bravo est un auteur pas comme les autres. Outre son exceptionnel dessin, c’est quelqu’un qui aime raconter des histoires différentes de celles qu’on à l’habitude de lire. Un original quoi ! Il revisite allégrement les contes de fées avec son hilarant « Boucle d’or et les sept ours nains », il reprend le personnage de Spirou en le propulsant en pleine seconde guerre mondiale et il nous fait tous pleurer avec son chef d’œuvre (c’est un avis personnel bien sûr) « Ma maman est en Amérique, elle à rencontré Buffalo Bill » qui est certainement un des plus beau livres pour les petits (et les grands) qui aborde le deuil. Emile Bravo est doué, ses histoires sont passionnantes et intelligentes. Vous savez ce qu’il vous reste à faire."

jeudi 29 septembre 2011

Un plan sur la comète, chez "sceneario.com"

Une nouvelle critique du dernier tome des aventures de Jules
Source sceneario.com
Auteur: Phibes
Du 24 Septembre 2011.
  
Petit extrait: 
"Le trait d'Emile Bravo se reconnaît aisément de par sa générosité, sa finesse et sa représentativité. Ses personnages possèdent une fragilité, une expressivité craquante voire hilarante. Jules et Janet sont vraiment attachants dans leurs réactions subtilement travaillées (qu'elles en deviennent presque naturelles), dans leurs pérégrinations mouvementées et sont accompagnés d'autres protagonistes qui valent également leur pesant de quolibets tels Tim et Salsifi les extraterrestres. La colorisation de Fanny Benoît se veut simple et efficace et conforte tout particulièrement le dessin pour un rendu des plus agréables."

mardi 27 septembre 2011

On parle ici d'un plan sur la comète...

On en parle en bien... Même en très bien...
Extrait de la chronique écrite par Bookfalo Kill:
"... Émile Bravo ne prend pas les enfants pour des imbéciles. Les bandes dessinées qu’il imagine et dessine pour eux sont intelligentes, pleines d’humour et de références. A ce titre, sa série consacrée aux épatantes aventures de Jules est magistrale, alliant aventures échevelées et réflexions scientifiques et morales. Le sixième tome ne déroge pas à la règle. Il y est cette fois question d’écologie, de la manière dont les hommes maltraitent leur planète.
Si l’humour est toujours aussi présent, Bravo prend le temps d’être grave, mine de rien, et consacre 78 pages à sensibiliser ses jeunes lecteurs à la nécessité de prendre soin de la Terre. Surtout, il le fait sans manichéisme ni bons sentiments, avec subtilité. En égratignant, au passage, le comportement irresponsable des hommes politiques sur une question aussi essentielle pour la survie de notre espèce. Le fait que Pipard ait pour ami un certain Président Salami (!!!), petit et caractériel, n’est sans doute pas une coïncidence…"
 
Pour lire la chronique dans son intégralité c'est ici: Cannibales lecteurs

lundi 15 février 2010

Las Aventuras de Spirou y Fantasio: Diario de Un Ingenuo - Chronique Espagnole

Source: La Caravineta

Últimamente he de reconocer que llevo una buena racha a la hora de elegir los tebeos a leer. Prácticamente, en su mayoría, autores que nos presentan una nueva forma de acercarse al medio, investigando y tratando de ofrecernos nuevas fórmulas tanto en la propuesta gráfica como en el guión y, de repente, me encuentro con este Diario de un Ingenuo de Èmile Bravo (Un comic, por otra parte, que llevaba tiempo esperando la edición en castellano que, finalmente, Planeta nos ha traído). Èmile Bravo, lejos de hacer de su Diario de un Ingenuo una avanzadilla del noveno arte, nos retorna a los cómics más clásicos de la escuela francobelga y nos cuenta la historia y el nacimiento como heroe del botones más conocido de la BD. Así, tanto en sus composiciones de páginas, como en la forma de contar la historia, e incluso en su dibujo, podemos recordar nombres de la talla de Franquín (como no hablando de Spirou), Chaland, o Hergé, autor al que no se cansa de homenajear a traves de su personaje más conocido, Tintín, durante las 72 páginas de las que consta la historieta.
Bravo se remonta al año 1939 para contarnos los inicios del personaje. Nos muestra a un spirou ingenuo, un preadolescente que avanza inocentemente, con paso vacilante hacia la madurez al ritmo que le manda la época que le tocó atravesar. Nos habla de su primer trabajo, su primer amor, sus primeros contactos con Fantasio y Spip, su ardilla.
Debe ser complicado trabajar en un personaje tan emblemático como Spirou. La presión de hacer algo bueno con un personaje tan trillado como el botones aventurero, de que guste a sus miles de seguidores, que resulte coherente con su historia debe resultar exagerada. Más si cabe inventarse un origen, un nacimiento y unos porqués sin desmembrar las señas de identidad del protagonista. Bravo se enfrenta a esto con la sencillez de quien cree que es un personaje diseñado para él y sale victorioso. Se inventa nuevos personajes con lo que interactuar y dar coherencia y consistencia a la historia, al nacimiento del héroe y lo hace de una manera asequible, consiguiendo en muchos casos una sonrisa del lector adulto, que disfruta de lo que está leyendo de la misma manera que disfrutaba de las lecturas del mismo Franquín y presumiblemente consiguiendo igualmente la sonrisa en los rostros de los más jóvenes lectores.
Spirou es el botones del hotel Moustic de Bruselas. Durante sus horas de trabajo se dedica a subir y bajar maletas de los muchos rostros conocidos que llegan al hotel buscando privacidad, a huir de Entresol, personaje siempre dispuesto a darle unos capones, y evitar que su incansable compañera, Spip la ardilla, se meta en problemas. Durante sus horas de asueto, arbitra partidos de fútbol entre chavales conmocionados por el rumbo político del mundo en los años anteriores a la 2º Guerra Mundial y se dedica a pasear con la sirvienta del hotel que, a pesar de no conocer ni su nombre, le tiene completamente enamorado.
Pero la historia a elegido el hotel donde trabaja el pequeño botones para cambiar de dirección. En una de sus habitaciones, polacos y alemanes pactan la forma de repartirse Polonia tratando así de evitar la guerra.
Fantasio, que en esos momentos trabaja como periodista del corazón para el diario Mosquito y persigue a una pareja de celebridades que se alojan en el hotel, ayudará a que polacos y alemanes lleguen a una resolución.
Es este Diario de un Ingenuo un comic fantástico, donde se pone de manifiesto lo que pueden hacer autores de la talla de Bravo con personajes consagrados, y que pone en evidencia (más si cabe) las absurdas guerras de los moulinsart y los Uderzos de turno a favor del dinero y en contra de los personajes que sus antecesores o ellos mismos crearon.

samedi 30 janvier 2010

Portrait des Jean als junger Tor - Chronique Allemande

„Lieber Jean, ich bin in der Schweiz. Ich fahre jeden Tag Ski. Die Bäume sind ganz weiß vom Schnee, es ist kalt. Ich habe eine Uhr gekauft, die Kuckuck macht, ich zeige sie dir, wenn ich wieder da bin. Liebe Grüße – Deine Mama.“ Postkarten dieser Art sind das Einzige, was der Erstklässler Jean vermeintlich von seiner Mutter hat – vorgelesen vom Nachbarsmädchen. Doch warum bekommt sie die Briefe und nicht er oder Papa oder zumindest das Kindermädchen? Und warum benehmen sich Erwachsene ihm gegenüber immer so komisch?

14. September 1970. Das ist Jeans erster Schultag und gleichzeitig der Beginn des kindlich-naiven, aber gleichzeitig intelligenten, anrührenden Comics. Die neue Lehrerin fragt die Schüler nach dem Beruf der Eltern. Für Jean der blanke Horror! „Ich fange an in meine Socken zu schwitzen. […] Könnte ich doch wegrennen!!!“ Denn Jean lebt zusammen mit seinem jüngeren Bruder Paul bei dem zumeist übelgelaunten, strengen Vater und dem gutmütigen, über alles geliebten Kindermädchen Yvette. Seine Mutter ist nicht da, die ist Sekretärin und auf Reisen – glaubt Jean. Denn Michèle, das zwei Jahre ältere Nachbarsmädchen, zaubert regelmäßig Post von der abwesenden Mutter hervor. Mal aus Spanien, wo sie von Stierkämpfen und Paella erzählt, mal aus Afrika, wo sie auf Elefanten und andere wilde Tiere trifft, und sogar ein Brief aus Amerika ist dabei, der von ihrem Treffen mit Buffalo Bill berichtet. Jean ist ganz schön stolz auf seine Mutter. Aber wieso ist sie nicht bei ihm – obwohl er sie doch so vermisst? Er muss feststellen, dass die Erinnerungen an seine Mama völlig ausgelöscht sind. Der Vater spricht nicht über sie, und die wenig geliebten Großeltern vermeiden es ebenso. Nur ein Bild von ihr, das bei den Großeltern über dem Kamin hängt, lässt Jean träumen von einer schönen, liebevollen Mutter aus vergangenen Zeiten. So sind die Briefe für Jean jedesmal ein ganz besonders Ereignis, und er saugt jeden Satz in sich auf.

Jeans Mutter ist tot. Jeder weiß es, nur Jean nicht. Dem Leser wird dies schnell klar, etwa durch das Verhalten der Erwachsenen ihm gegenüber, wie z.B. das der ständig weinenden Freundinnen der Oma. „Sie wuscheln uns durchs Haar und schauen uns traurig an, so, als wären wir krank.“ Oder durch die seltsamen Fragen des schmierigen Schulpsychologen. Doch Jean und sein Bruder tappen völlig im Dunkeln. Durch das Schweigen und das Verwirrspiel der Anderen geistert die Mutter schemenhaft in den Gedanken der Brüder umher.

Der französische Autor und Journalist Jean Regnaud erzählt aus autobiographischer Perspektive in „Meine Mutter ist in Amerika und hat Buffalo Bill getroffen“ aus dem Leben des kleinen Jean, vom ersten Schultag bis zu den Weihnachtsferien. Die Wunschvorstellungen und Träume Jeans sind ein wichtiger Bestandteil der Geschichte, die in zahlreichen Bildern oftmals überspitzt und witzig dargestellt werden. Verantwortlich für die hervorragenden Zeichnungen ist Émilie Bravo. Zusammen realisieren er und Regnaud regelmäßig preisgekrönte Projekte. Die vorliegende Zusammenarbeit ist 2008 auf dem Comic-Salon in Angoulême ausgezeichnet worden.

Das vom Verlag als Graphic Novel auf den Markt gebrachte Werk gliedert sich in vierzehn verschiedenfarbig unterlegte Kapitel, jeweils mit nachstehendem, teilweise vorausdeutendem oder kommentierendem „Intermezzo“ und einem Epilog am Ende des Buches. Die Seiten sind jeweils sehr abwechslungsreich gestaltet. Bravo benutzt für seine Bilder unterschiedliche zeichnerische Elemente, wie etwa ganzseitige Anfangsseiten als Einführung in das kommende Kapitel, einzelne freigestellte, vor eine Farbfläche montierte Szenen oder kleine, fortlaufende Bildpassagen. Ebenso machen die karikaturhaften, oftmals grotesken Zeichnungen das Buch zu einem ganz besonderen Leseereignis. Häufig kommen einige Bildpassagen auch vollständig ohne Text aus und geben dem Leser durch genaues Betrachten zusätzliche Informationen und eine traurige Ahnung über den Verbleib der Mutter. So ist in einem Intermezzo der angebliche Brief der Mutter aus Amerika abgebildet, der von Rechtschreibfehlern nur so wimmelt, so dass dem Leser deutlich wird, dass die Briefe vom Nachbarsmädchen selbst geschrieben wurden.

Auch durch die überzeichnete, lustige Darstellung der verschiedenen Figuren durch Bild und Text, etwa der uralten, faltigen Verwandten, des stummen, dafür aber ständig grinsenden Vietnamesen in Jeans Schule oder der kettenrauchenden Oma, trägt zum Lesevergnügen bei.

Durch die kindlich-naive Darstellung des Jungen erobert dieser sofort das Herz des Lesers und lässt diesen trotz aller Andeutungen auf einen glücklichen Ausgang hoffen. Der Humor des Buches ist für junge Leser nicht durch und durch verständlich, manchen ironischen und sarkastischen Witz werden Kinder nicht ohne Erklärung entschlüsseln können. Somit ist das Werk, welches aufgrund seines autobiographischen Hintergrunds voller kleiner Botschaften steckt, auch oder gerade für ältere Leser sehr zu empfehlen. Die Autoren zeigen mit ihren frechen, witzigen Bildern und Texten auf die Welt des kleinen Jean. Mit „Meine Mutter ist in Amerika und hat Buffalo Bill getroffen“ ist dem französischen Duo eine herzergreifende, aber auch ausgesprochen lustige Geschichte für Kinder ab acht Jahren gelungen. Äußerst empfehlenswert – ein tolles Buch!

Source: Lesebar

vendredi 29 janvier 2010

Los Defectos del Futuro - Chronique espagnole

Al enterarme de que existía más material editado en nuestro país de Émile Bravo me puse en modo búsca y captura para recopilarlo. De uno de los dos ámbuncillos de Los Siete Osos Enanos ya hemos hablado. Ahora vamos a hincarle el diente a un tomo editado por Brosquil, una editorial de la cual ni tan siquiera sabía de su existencia hasta que apareció en la pertinente búsqueda internetera. ¡Y resulta que son de mi tierra y todo!Este álbum, de corte totalmente infantiloide, trata de cómo el joven Jules, adicto al videojuego Starfighter, descubre que es seleccionado por la Agencia eSpacial Mundial (ASM, me encanta el detalle tonto de que no hayan intentado ajustar las siglas al idioma) para realizar un viaje de ocho semanas en una nave que es capaz de viajar a la velocidad de la luz. El destino del viaje es Alfa-Centauro y el propósito del mismo establecer contacto con otras razas de aquel sector del espacio. O eso es lo que parece en principio...

Y dándonos la misma información y al mismo ritmo que la va recibiendo Jules nos enteramos de cómo es la nave, conocemos al resto de tripulantes de la misión (piloto, exobióloga, científicos y una joven seleccionada como él), se esclarece poco a poco algunos aspectos no mencionados anteriormente, etc... Todo ello con el peculiar dibujo de Bravo, que aunque no llega a estar tan elaborado como en la historia de Spirou, no cabe duda que merece la pena verlo. Eso sí, os puedo asegurar de que ocurre como en aquél tomo, dada la cantidad de viñetas y bocadillos existentes en cada una de sus páginas el álbum no os lo vais a cepillar en cinco minutetes.

Tiene sus tontunas, como que el piloto de la nave tenga los ojos como un personaje de manga, en lugar de puntitos que es lo que tienen los demás, y la explicación que le dan al por qué es así, los diseños de la vida extraterrestre, su forma de ser, sus motivaciones, etc.

En resumen tenemos un albúm de corte clásico francobelga, tanto por el aspecto visual como por la estructura y desarrollo de la historia. A mí la verdad es que me ha gustado bastante, sobre todo por la curiosa sensación que me ha embargado al leerlo de como si tuviese diecipocos años de nuevo y estuviese leyendo por vez primera un nuevo tomo de Astérix, Lucky Luke, Iznogud, Tintín y similares...

No sé como estará el tema de la disponibilidad en el resto del panorama nacional, pero que sepan que parece ser que en la misma web de la editorial se pueden realizar pedidos.

Saludos!

Source: lecturas reCOMICdadas

jeudi 21 janvier 2010

My Mommy Is in America and She Met Buffalo Bill - Chronique anglaise

Five-year-old Jean has a busy father, a pugnacious younger brother, a grouchy schoolteacher, a kindhearted nanny…and a mother who has long been missing. Where has she gone? His next-door neighbor Michele seems to know and delivers regular postcards from around the world addressed to Jean from his mommy. At school, at home, and with family and friends, Jean slowly but surely comes to terms with the realities of the world out there and the strength within himself.
 
My Mommy Is in America and She Met Buffalo Bill is a semiautobiographical French comic album written by Jean Regnaud and illustrated by Émile Bravo. Critically acclaimed, it has won both the 2008 Essentials Award at the 35th Festival of Angoulême, France, and the 2008 Tam Tam Literary Award from the Salon du Livres et de la Presse Jeunesse. Bravo’s short story “Young Americans” was nominated for an Eisner Award in 2008. This is the first of the creators’ long works to be published in an English translation.

On the surface, there does not seem to be much in the way of a narrative arc to the storyline. Jean’s days are a disjointed mixture of reading lessons, pillow fights, and annoying older relatives. Nothing world-shattering happens here, not even, for example, when a terrified Jean is instructed to visit a school psychoanalyst. But then, “world-shattering” would not be the point. In actuality, this graphic novel is an exquisitely subtle coming-of-age tale: It begins with a young boy anxious about what other people think of his motherless family and ends with that same boy, only half a year later, located happily in a world where only he—and not who, what, or where his mother is—matters. It is, in short, about the realization of a child’s selfhood.

Artistically, this comic is a fascinating amalgamation of visual techniques. Some pages are little more than pinup illustrations with or without accompanying text, identical to what you might find in a children’s picture book. Other pages are sequences of sequential art without panels, while still others have conventional comic-book-style panels and layouts. There are also numerous single-sheet vignettes that resemble the sort of situational humor that is the bread and butter of newspaper funnies. The last works especially well, given that both the artwork’s style and the story’s thematic mood bear a certain amount of resemblance to Charles Schultz’s Peanuts.

My Mommy Is in America and She Met Buffalo Bill has been published in English by Fanfare as an oversized hardcover book that builds an elegant, transitional bridge between children’s picture books and graphic novels. By teaching young people the set of visual literacies necessary to read sequential art, this modest yet meticulously crafted work may help to make some of them lifelong comic book readers. Furthermore, the volume is high-quality and durable enough to sustain the countless rereadings of a young fan—or fans.

Source: GraphicNovelReporter
Auteur : Casey Brienza