Pour la première fois, Libération et Virgin Megastore s’associent pour remettre leur prix de la BD.
Intitulé "Prix de la BD 2010 Libération/Virgin Megastore", il
récompense une BD parue durant l’année 2009, et est doté d’un chèque
d’un montant de 2 000 € offert par Virgin Megastore.
Le jury, composé d’Alain Blaise, Gérard Lefort, Laurent Joffrin, Max
Armanet pour Libération, Éric Garnier pour Virgin Megastore, et les
auteurs Killofer, Moebius et Émile Bravo,
avait sélectionné 10 BD qui ont été soumises aux votes des lecteurs de
Libération et des clients de Virgin Megastore entre le 8 décembre 2009
et le 17 janvier 2010.
La sélection :
- LE GRAND DUC T2 de Romain Hugault & Yann (Paquet)
- DIEU EN PERSONNE de Marc-Antoine Mathieu (Delcourt)
- MARILYN de Christian de Metter (Casterman)
- AMITIÉ ÉTROITE de Sébastien Vivès (Casterman)
- JE VOUDRAIS ME SUICIDER MAIS J’AI PAS LE TEMPS de Florence Cestac & Jean Teulé (Dargaud)
- PACHYDERME de Frederik Peeters (Gallimard)
- DIABLES SUCRES de Clément Baloup et Mathieu Jiro (Bayou / Gallimard)
- MURENA de Dufaux & Delaby (Dargaud)
- TOUT PEUT ARRIVER d’Anna Sommer (Buchet-Chastel)
- MARZI, l’intégrale de Savoia et Sowa (Dupuis).
Le Prix
BD 2010 des lecteurs de Libération & Virgin Megastore a été décerné
mercredi 27 janvier 2010 à Marzena Sowa et Sylvain
Savoia pour Marzi (Dupuis).
jeudi 4 février 2010
Bientôt... Une nouvelle rubrique... "Les amis de Jules"
"Chers amis internautes, vous qui aimez venir ici et me faire l'honneur de
visiter le site des "Épatantes aventures d’Emile Bravo", j'ai une nouvelle qui devrait savoir ravir vos pupilles très prochainement.
En effet, on se rend compte en discutant avec de nombreux auteurs, que l'impact d’Émile Bravo n'a rien d'anodin.
Rien dans le sens d'une déférence exagérée, ni même d'une influence de trait particulière, non, juste le plaisir que chacun d'entre eux a pu ressentir en tant que simple lecteur.
A cela près que, contrairement à moi qui ne suis pas capable d'exprimer graphiquement le dit sentiment, ces auteurs là, eux, ont la chance de pouvoir matérialiser leur ressenti.
Ainsi, "Les amis de Jules" sera une rubrique ouverte à tous les auteurs qui voudront bien adresser un clin d'oeil à la série phare d’Émile Bravo, sous quelque forme que ce soit.
Il ne s'agit pas de se diriger vers une forme d'hommage quelconque, encore moins de basculer dans la fan-artise niaiseuse, mais bien de partager un instant de plaisir au sujet de ces décidément épatantes aventures de Jules !
Il est intéressant de noter que les auteurs qui ont souhaité s'inscrire dans cette démarche donneront leur vision personnelle du petit personnage d’Émile, et les résultats sont parfois très surprenants, mais jamais dénués d'intérêt.
Après tous les clins d’œil qu’Émile Bravo parsème dans ses œuvres, c'est au tour de ceux qui ont aimé ses albums de lui en faire un, un gros, comme mille bravos !"
Merci Coacho
En effet, on se rend compte en discutant avec de nombreux auteurs, que l'impact d’Émile Bravo n'a rien d'anodin.
Rien dans le sens d'une déférence exagérée, ni même d'une influence de trait particulière, non, juste le plaisir que chacun d'entre eux a pu ressentir en tant que simple lecteur.
A cela près que, contrairement à moi qui ne suis pas capable d'exprimer graphiquement le dit sentiment, ces auteurs là, eux, ont la chance de pouvoir matérialiser leur ressenti.
Ainsi, "Les amis de Jules" sera une rubrique ouverte à tous les auteurs qui voudront bien adresser un clin d'oeil à la série phare d’Émile Bravo, sous quelque forme que ce soit.
Il ne s'agit pas de se diriger vers une forme d'hommage quelconque, encore moins de basculer dans la fan-artise niaiseuse, mais bien de partager un instant de plaisir au sujet de ces décidément épatantes aventures de Jules !
Il est intéressant de noter que les auteurs qui ont souhaité s'inscrire dans cette démarche donneront leur vision personnelle du petit personnage d’Émile, et les résultats sont parfois très surprenants, mais jamais dénués d'intérêt.
Après tous les clins d’œil qu’Émile Bravo parsème dans ses œuvres, c'est au tour de ceux qui ont aimé ses albums de lui en faire un, un gros, comme mille bravos !"
Merci Coacho
L'affiche du prochain festival de la BD d'Amiens, dessinée par Emile Bravo...
Le quinzième rendez-vous de la bande dessinée d'Amiens aura lieu les 5 et 6 juin 2010.
L'affiche sera signée Émile Bravo.
Visible d'ici quelques jours sur le site: 15ème rendez-vous de la BD d'Amiens
L'affiche sera signée Émile Bravo.
Visible d'ici quelques jours sur le site: 15ème rendez-vous de la BD d'Amiens
mercredi 3 février 2010
Spirou n° 3739
Une image extraite du magasine Spirou n° 3739
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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mardi 2 février 2010
Spirou n° 3739
Une image extraite du magasine Spirou n° 3739
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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lundi 1 février 2010
Spirou n° 3739
Une image extraite du magasine Spirou n° 3739
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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dimanche 31 janvier 2010
Spirou n° 3738
Une image extraite du magasine Spirou n° 3738
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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samedi 30 janvier 2010
Spirou n° 3738
Une image extraite du magasine Spirou n° 3738
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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Portrait des Jean als junger Tor - Chronique Allemande
„Lieber
Jean, ich bin in der Schweiz. Ich fahre jeden Tag Ski. Die Bäume sind
ganz weiß vom Schnee, es ist kalt. Ich habe eine
Uhr gekauft, die Kuckuck macht, ich zeige sie dir, wenn ich wieder da
bin. Liebe Grüße – Deine Mama.“ Postkarten dieser Art sind das Einzige,
was der Erstklässler Jean vermeintlich von seiner
Mutter hat – vorgelesen vom Nachbarsmädchen. Doch warum bekommt sie
die Briefe und nicht er oder Papa oder zumindest das Kindermädchen? Und
warum benehmen sich Erwachsene ihm gegenüber immer so
komisch?
14. September 1970. Das ist Jeans erster Schultag und gleichzeitig der Beginn des kindlich-naiven, aber gleichzeitig intelligenten, anrührenden Comics. Die neue Lehrerin fragt die Schüler nach dem Beruf der Eltern. Für Jean der blanke Horror! „Ich fange an in meine Socken zu schwitzen. […] Könnte ich doch wegrennen!!!“ Denn Jean lebt zusammen mit seinem jüngeren Bruder Paul bei dem zumeist übelgelaunten, strengen Vater und dem gutmütigen, über alles geliebten Kindermädchen Yvette. Seine Mutter ist nicht da, die ist Sekretärin und auf Reisen – glaubt Jean. Denn Michèle, das zwei Jahre ältere Nachbarsmädchen, zaubert regelmäßig Post von der abwesenden Mutter hervor. Mal aus Spanien, wo sie von Stierkämpfen und Paella erzählt, mal aus Afrika, wo sie auf Elefanten und andere wilde Tiere trifft, und sogar ein Brief aus Amerika ist dabei, der von ihrem Treffen mit Buffalo Bill berichtet. Jean ist ganz schön stolz auf seine Mutter. Aber wieso ist sie nicht bei ihm – obwohl er sie doch so vermisst? Er muss feststellen, dass die Erinnerungen an seine Mama völlig ausgelöscht sind. Der Vater spricht nicht über sie, und die wenig geliebten Großeltern vermeiden es ebenso. Nur ein Bild von ihr, das bei den Großeltern über dem Kamin hängt, lässt Jean träumen von einer schönen, liebevollen Mutter aus vergangenen Zeiten. So sind die Briefe für Jean jedesmal ein ganz besonders Ereignis, und er saugt jeden Satz in sich auf.
Jeans Mutter ist tot. Jeder weiß es, nur Jean nicht. Dem Leser wird dies schnell klar, etwa durch das Verhalten der Erwachsenen ihm gegenüber, wie z.B. das der ständig weinenden Freundinnen der Oma. „Sie wuscheln uns durchs Haar und schauen uns traurig an, so, als wären wir krank.“ Oder durch die seltsamen Fragen des schmierigen Schulpsychologen. Doch Jean und sein Bruder tappen völlig im Dunkeln. Durch das Schweigen und das Verwirrspiel der Anderen geistert die Mutter schemenhaft in den Gedanken der Brüder umher.
Der französische Autor und Journalist Jean Regnaud erzählt aus autobiographischer Perspektive in „Meine Mutter ist in Amerika und hat Buffalo Bill getroffen“ aus dem Leben des kleinen Jean, vom ersten Schultag bis zu den Weihnachtsferien. Die Wunschvorstellungen und Träume Jeans sind ein wichtiger Bestandteil der Geschichte, die in zahlreichen Bildern oftmals überspitzt und witzig dargestellt werden. Verantwortlich für die hervorragenden Zeichnungen ist Émilie Bravo. Zusammen realisieren er und Regnaud regelmäßig preisgekrönte Projekte. Die vorliegende Zusammenarbeit ist 2008 auf dem Comic-Salon in Angoulême ausgezeichnet worden.
Das vom Verlag als Graphic Novel auf den Markt gebrachte Werk gliedert sich in vierzehn verschiedenfarbig unterlegte Kapitel, jeweils mit nachstehendem, teilweise vorausdeutendem oder kommentierendem „Intermezzo“ und einem Epilog am Ende des Buches. Die Seiten sind jeweils sehr abwechslungsreich gestaltet. Bravo benutzt für seine Bilder unterschiedliche zeichnerische Elemente, wie etwa ganzseitige Anfangsseiten als Einführung in das kommende Kapitel, einzelne freigestellte, vor eine Farbfläche montierte Szenen oder kleine, fortlaufende Bildpassagen. Ebenso machen die karikaturhaften, oftmals grotesken Zeichnungen das Buch zu einem ganz besonderen Leseereignis. Häufig kommen einige Bildpassagen auch vollständig ohne Text aus und geben dem Leser durch genaues Betrachten zusätzliche Informationen und eine traurige Ahnung über den Verbleib der Mutter. So ist in einem Intermezzo der angebliche Brief der Mutter aus Amerika abgebildet, der von Rechtschreibfehlern nur so wimmelt, so dass dem Leser deutlich wird, dass die Briefe vom Nachbarsmädchen selbst geschrieben wurden.
Auch durch die überzeichnete, lustige Darstellung der verschiedenen Figuren durch Bild und Text, etwa der uralten, faltigen Verwandten, des stummen, dafür aber ständig grinsenden Vietnamesen in Jeans Schule oder der kettenrauchenden Oma, trägt zum Lesevergnügen bei.
Durch die kindlich-naive Darstellung des Jungen erobert dieser sofort das Herz des Lesers und lässt diesen trotz aller Andeutungen auf einen glücklichen Ausgang hoffen. Der Humor des Buches ist für junge Leser nicht durch und durch verständlich, manchen ironischen und sarkastischen Witz werden Kinder nicht ohne Erklärung entschlüsseln können. Somit ist das Werk, welches aufgrund seines autobiographischen Hintergrunds voller kleiner Botschaften steckt, auch oder gerade für ältere Leser sehr zu empfehlen. Die Autoren zeigen mit ihren frechen, witzigen Bildern und Texten auf die Welt des kleinen Jean. Mit „Meine Mutter ist in Amerika und hat Buffalo Bill getroffen“ ist dem französischen Duo eine herzergreifende, aber auch ausgesprochen lustige Geschichte für Kinder ab acht Jahren gelungen. Äußerst empfehlenswert – ein tolles Buch!
Source: Lesebar
14. September 1970. Das ist Jeans erster Schultag und gleichzeitig der Beginn des kindlich-naiven, aber gleichzeitig intelligenten, anrührenden Comics. Die neue Lehrerin fragt die Schüler nach dem Beruf der Eltern. Für Jean der blanke Horror! „Ich fange an in meine Socken zu schwitzen. […] Könnte ich doch wegrennen!!!“ Denn Jean lebt zusammen mit seinem jüngeren Bruder Paul bei dem zumeist übelgelaunten, strengen Vater und dem gutmütigen, über alles geliebten Kindermädchen Yvette. Seine Mutter ist nicht da, die ist Sekretärin und auf Reisen – glaubt Jean. Denn Michèle, das zwei Jahre ältere Nachbarsmädchen, zaubert regelmäßig Post von der abwesenden Mutter hervor. Mal aus Spanien, wo sie von Stierkämpfen und Paella erzählt, mal aus Afrika, wo sie auf Elefanten und andere wilde Tiere trifft, und sogar ein Brief aus Amerika ist dabei, der von ihrem Treffen mit Buffalo Bill berichtet. Jean ist ganz schön stolz auf seine Mutter. Aber wieso ist sie nicht bei ihm – obwohl er sie doch so vermisst? Er muss feststellen, dass die Erinnerungen an seine Mama völlig ausgelöscht sind. Der Vater spricht nicht über sie, und die wenig geliebten Großeltern vermeiden es ebenso. Nur ein Bild von ihr, das bei den Großeltern über dem Kamin hängt, lässt Jean träumen von einer schönen, liebevollen Mutter aus vergangenen Zeiten. So sind die Briefe für Jean jedesmal ein ganz besonders Ereignis, und er saugt jeden Satz in sich auf.
Jeans Mutter ist tot. Jeder weiß es, nur Jean nicht. Dem Leser wird dies schnell klar, etwa durch das Verhalten der Erwachsenen ihm gegenüber, wie z.B. das der ständig weinenden Freundinnen der Oma. „Sie wuscheln uns durchs Haar und schauen uns traurig an, so, als wären wir krank.“ Oder durch die seltsamen Fragen des schmierigen Schulpsychologen. Doch Jean und sein Bruder tappen völlig im Dunkeln. Durch das Schweigen und das Verwirrspiel der Anderen geistert die Mutter schemenhaft in den Gedanken der Brüder umher.
Der französische Autor und Journalist Jean Regnaud erzählt aus autobiographischer Perspektive in „Meine Mutter ist in Amerika und hat Buffalo Bill getroffen“ aus dem Leben des kleinen Jean, vom ersten Schultag bis zu den Weihnachtsferien. Die Wunschvorstellungen und Träume Jeans sind ein wichtiger Bestandteil der Geschichte, die in zahlreichen Bildern oftmals überspitzt und witzig dargestellt werden. Verantwortlich für die hervorragenden Zeichnungen ist Émilie Bravo. Zusammen realisieren er und Regnaud regelmäßig preisgekrönte Projekte. Die vorliegende Zusammenarbeit ist 2008 auf dem Comic-Salon in Angoulême ausgezeichnet worden.
Das vom Verlag als Graphic Novel auf den Markt gebrachte Werk gliedert sich in vierzehn verschiedenfarbig unterlegte Kapitel, jeweils mit nachstehendem, teilweise vorausdeutendem oder kommentierendem „Intermezzo“ und einem Epilog am Ende des Buches. Die Seiten sind jeweils sehr abwechslungsreich gestaltet. Bravo benutzt für seine Bilder unterschiedliche zeichnerische Elemente, wie etwa ganzseitige Anfangsseiten als Einführung in das kommende Kapitel, einzelne freigestellte, vor eine Farbfläche montierte Szenen oder kleine, fortlaufende Bildpassagen. Ebenso machen die karikaturhaften, oftmals grotesken Zeichnungen das Buch zu einem ganz besonderen Leseereignis. Häufig kommen einige Bildpassagen auch vollständig ohne Text aus und geben dem Leser durch genaues Betrachten zusätzliche Informationen und eine traurige Ahnung über den Verbleib der Mutter. So ist in einem Intermezzo der angebliche Brief der Mutter aus Amerika abgebildet, der von Rechtschreibfehlern nur so wimmelt, so dass dem Leser deutlich wird, dass die Briefe vom Nachbarsmädchen selbst geschrieben wurden.
Auch durch die überzeichnete, lustige Darstellung der verschiedenen Figuren durch Bild und Text, etwa der uralten, faltigen Verwandten, des stummen, dafür aber ständig grinsenden Vietnamesen in Jeans Schule oder der kettenrauchenden Oma, trägt zum Lesevergnügen bei.
Durch die kindlich-naive Darstellung des Jungen erobert dieser sofort das Herz des Lesers und lässt diesen trotz aller Andeutungen auf einen glücklichen Ausgang hoffen. Der Humor des Buches ist für junge Leser nicht durch und durch verständlich, manchen ironischen und sarkastischen Witz werden Kinder nicht ohne Erklärung entschlüsseln können. Somit ist das Werk, welches aufgrund seines autobiographischen Hintergrunds voller kleiner Botschaften steckt, auch oder gerade für ältere Leser sehr zu empfehlen. Die Autoren zeigen mit ihren frechen, witzigen Bildern und Texten auf die Welt des kleinen Jean. Mit „Meine Mutter ist in Amerika und hat Buffalo Bill getroffen“ ist dem französischen Duo eine herzergreifende, aber auch ausgesprochen lustige Geschichte für Kinder ab acht Jahren gelungen. Äußerst empfehlenswert – ein tolles Buch!
Source: Lesebar
vendredi 29 janvier 2010
Spirou n° 3738
Une image extraite du magasine Spirou n° 3738
Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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Illustration du haut de page de la question du père.
Tome 5 d'une épatante aventure de Jules.
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