dimanche 20 décembre 2009
vendredi 18 décembre 2009
Emile Bravo en dédicace chez Philippe Le Libraire (à Paris)
Communiqué de Philippe Le Libraire
Emile BRAVO & François AVRIL seront présent à la librairie pour dédicacer leurs ouvrages,
le vendredi 18 décembre de 18 à 20 heures précises, ou quand l’auteur d’un superbe album de SPIROU croise l’auteur d'une magnifique planche de Spirou…
Présent pour la 1ère fois, Émile Bravo, auteur du Journal d’un Ingénu, subtile évocation des premiers émois d'un jeune belge au destin d’aventurier, qui sort en cette fin d’année en édition limitée avec album en crayonnés, est également le créateur de la série des Ours, vrais-faux contes pour bambins de tous âges, trois tomes de parus au éditions du Seuil...
Présent pour la 4ème fois (record?), François Avril, qui nous a offert dernièrement un excellent exercice de style dans le journal de Spirou (voir son site), a produit une incroyable Fresque tout en accordéon en hommage au 9ème art et à ses plus beaux personnages qu’il invite à se croiser dans les rues bruxelloises...
Philippe le libraire32 rue des vinaigriers Xème arrondissement.Tél : 01 40 38 11 39Ouvert de 11h11 à 20h20
Merci à Basil S. pour cette info
Emile BRAVO & François AVRIL seront présent à la librairie pour dédicacer leurs ouvrages,
le vendredi 18 décembre de 18 à 20 heures précises, ou quand l’auteur d’un superbe album de SPIROU croise l’auteur d'une magnifique planche de Spirou…
Présent pour la 1ère fois, Émile Bravo, auteur du Journal d’un Ingénu, subtile évocation des premiers émois d'un jeune belge au destin d’aventurier, qui sort en cette fin d’année en édition limitée avec album en crayonnés, est également le créateur de la série des Ours, vrais-faux contes pour bambins de tous âges, trois tomes de parus au éditions du Seuil...
Présent pour la 4ème fois (record?), François Avril, qui nous a offert dernièrement un excellent exercice de style dans le journal de Spirou (voir son site), a produit une incroyable Fresque tout en accordéon en hommage au 9ème art et à ses plus beaux personnages qu’il invite à se croiser dans les rues bruxelloises...
Philippe le libraire32 rue des vinaigriers Xème arrondissement.Tél : 01 40 38 11 39Ouvert de 11h11 à 20h20
Merci à Basil S. pour cette info
dimanche 13 décembre 2009
Les éditeurs de bande dessinée aux éditions Niffle.
Source Mitchul pour la partie en italique.
Passionnant ouvrage de Thierry Bellefroid qui a réalisé pour l’occasion une série d’entretiens avec les éditeurs les plus influents de la profession : L’Association, Casterman, Cornélius, Dargaud, Delcourt, Dupuis, Frémok, les Humanoïdes Associés, Kana et Soleil. Qu’est-ce un éditeur ? Un business man qui ne pense qu’en chiffre ? Le défenseur d’une certaine exigence artistique ? Un auteur ? Un artiste, à sa manière ?
Même si on constate plus ou moins deux approches distinctes du métier (les indépendants contre les grosses maisons), chacune des personnes interrogées a sa propre manière de voir et faire les choses. C’est tout l’intérêt de ces entretiens que de confronter ces différents points de vue. Au-delà de leur parcours personnel et de leurs motivations, Bellefroid aborde avec eux les thèmes de la création d’un album, la cohérence du catalogue, des relations entre éditeur et auteur, les succès et les ratés, leurs satisfactions et leurs regrets…
Ce recueil d’entretien nous permet de confirmer ce dont on se doutait : il y a bien une différence de démarche entre ceux que l’on nomme les indépendants (qui d’ailleurs, lorsqu’ils touchent des aides de l’état sont, par définition, moins indépendants que les maisons privés) qui ont pour objectif premier de contribuer à la réalisation d’un ouvrage de belle facture, de produire des auteurs difficiles, des œuvres d’avant-garde. Que leurs ouvrages se vendent bien ou pas est secondaire. Leur but est de laisser l’opportunité à un auteur de trouver son lectorat, aussi minime soit-il. Alors que les gros groupes ont plutôt des objectifs de ventes qui les amènent à prendre moins de risques et donc sortir des albums plus conventionnels. Une situation un peu paradoxale : ce sont ceux qui ont le plus de moyens qui prennent le moins de risques…
Auteur et éditeur forment un couple. Et comme chaque couple, ils se complètent, se désirent et parfois se déchirent. Pour la première fois, un livre aborde les multiples facettes de ce partenaire méconnu de l'auteur. Un partenaire qui n'a jamais joué un rôle aussi important dans le processus créatif qu'aujourd'hui. Loin du joli monde enchanté où chacun fraternise, les éditeurs se font une concurrence sans merci. Pour arriver à leurs fins, les uns utilisent leur puissance, les autres leur finesse, certains se solidarisent quand d'autres rêvent de devenir le roi du monde. C'est tout le spectre de cette aventure humaine que nous révèlent ces onze portraits d'éditeurs souvent hauts en couleur. Pour enrichir ces entretiens, une vingtaine d'auteurs tels que Baru, Berberian, Blain, Bravo, Guibert, Sattouf, Schuiten ou Trondheim ont réalisé des planches inédites. Ils y livrent leur vision sans complaisance du métier. Une plongée captivante au cœur de la création de bandes dessinées....
Emile Bravo a réalisé une illustration de sa rencontre avec la maison d’édition Dargaud qui édite la série « Une épatante aventure de Jules »…
Fiction ou réalité ? Au vu de la qualité de réalisation des quatre premiers tomes de Jules, on peut supposer qu’il y a un fond de vérité…
Sur ces deux pages, on est en présence d’un Emile Bravo un peu désabusé, défendant la pratique de son art et essayant de faire passer, tant bien que mal, l’idée qu’un travail «d’artisan» méritait une édition de qualité…
Face au service marketing, le discours du responsable est tout autre… La BD n’est qu’un produit de consommation comme un autre… En conséquence, tout est affaire de packaging !
Passionnant ouvrage de Thierry Bellefroid qui a réalisé pour l’occasion une série d’entretiens avec les éditeurs les plus influents de la profession : L’Association, Casterman, Cornélius, Dargaud, Delcourt, Dupuis, Frémok, les Humanoïdes Associés, Kana et Soleil. Qu’est-ce un éditeur ? Un business man qui ne pense qu’en chiffre ? Le défenseur d’une certaine exigence artistique ? Un auteur ? Un artiste, à sa manière ?
Même si on constate plus ou moins deux approches distinctes du métier (les indépendants contre les grosses maisons), chacune des personnes interrogées a sa propre manière de voir et faire les choses. C’est tout l’intérêt de ces entretiens que de confronter ces différents points de vue. Au-delà de leur parcours personnel et de leurs motivations, Bellefroid aborde avec eux les thèmes de la création d’un album, la cohérence du catalogue, des relations entre éditeur et auteur, les succès et les ratés, leurs satisfactions et leurs regrets…
Ce recueil d’entretien nous permet de confirmer ce dont on se doutait : il y a bien une différence de démarche entre ceux que l’on nomme les indépendants (qui d’ailleurs, lorsqu’ils touchent des aides de l’état sont, par définition, moins indépendants que les maisons privés) qui ont pour objectif premier de contribuer à la réalisation d’un ouvrage de belle facture, de produire des auteurs difficiles, des œuvres d’avant-garde. Que leurs ouvrages se vendent bien ou pas est secondaire. Leur but est de laisser l’opportunité à un auteur de trouver son lectorat, aussi minime soit-il. Alors que les gros groupes ont plutôt des objectifs de ventes qui les amènent à prendre moins de risques et donc sortir des albums plus conventionnels. Une situation un peu paradoxale : ce sont ceux qui ont le plus de moyens qui prennent le moins de risques…
Auteur et éditeur forment un couple. Et comme chaque couple, ils se complètent, se désirent et parfois se déchirent. Pour la première fois, un livre aborde les multiples facettes de ce partenaire méconnu de l'auteur. Un partenaire qui n'a jamais joué un rôle aussi important dans le processus créatif qu'aujourd'hui. Loin du joli monde enchanté où chacun fraternise, les éditeurs se font une concurrence sans merci. Pour arriver à leurs fins, les uns utilisent leur puissance, les autres leur finesse, certains se solidarisent quand d'autres rêvent de devenir le roi du monde. C'est tout le spectre de cette aventure humaine que nous révèlent ces onze portraits d'éditeurs souvent hauts en couleur. Pour enrichir ces entretiens, une vingtaine d'auteurs tels que Baru, Berberian, Blain, Bravo, Guibert, Sattouf, Schuiten ou Trondheim ont réalisé des planches inédites. Ils y livrent leur vision sans complaisance du métier. Une plongée captivante au cœur de la création de bandes dessinées....
Emile Bravo a réalisé une illustration de sa rencontre avec la maison d’édition Dargaud qui édite la série « Une épatante aventure de Jules »…
Fiction ou réalité ? Au vu de la qualité de réalisation des quatre premiers tomes de Jules, on peut supposer qu’il y a un fond de vérité…
Sur ces deux pages, on est en présence d’un Emile Bravo un peu désabusé, défendant la pratique de son art et essayant de faire passer, tant bien que mal, l’idée qu’un travail «d’artisan» méritait une édition de qualité…
Face au service marketing, le discours du responsable est tout autre… La BD n’est qu’un produit de consommation comme un autre… En conséquence, tout est affaire de packaging !
samedi 12 décembre 2009
Casemate n°3 d'Avril 2008.
Source Casemate n°3
d'avril 2008.
Propos recueillis par Richard Watt.
Entretien avec Emile Bravo, de la page 22 à la page 24.
La jeunesse de Spirou enfin dévoilé.
BRAVO des deux mains...
Extraits:
Une écriture graphique: j'utilise une technique assez simple, une espèce de ligne claire, c'est à dire tout simplement un texte et un dessin qui sont indissociables, et une histoire claire.
Quand on épure le dessin, en enlevant toutes les fioritures qui nuisent à la lisibilité et à la fluidité de l'histoire, cela donne souvent un dessin qui peut s'apparenter à ce que les gens conçoivent comme étant de la ligne claire "graphique". Mais le dessin est comme ça uniquement parce qu'il est au service du texte. Et vice-versa.
Pour moi c'est de l'écriture, de l'écriture graphique.
La case départ: Quand j'ai commencé à faire de la bande dessinée, j'ai écouté ce que disait Hergé.
Ses cases faisaient à peu près neuf centimètres de hauteur. J'ai trouvé que c'était une bonne échelle pour travailler.
S'il y a beaucoup de cases dans mes planches, c'est que, pour moi, un récit doit être dense.
Souvent, en BD, les auteurs se plaignent de n'avoir pas assez de place pour raconter leur histoire.
Pour "Le journal d'un ingénu", j'avais carte blanche pour le nombre de planches. J'en ai fait 63, chacune comportant quatre bandes, comme dans "Jules". J'ai pris l'habitude de dessiner de petites cases.
L'essence de la BD: Je trouve absurde de dire que la bande dessinée c'est un scénariste et un dessinateur. Pour moi, une bande dessinée c'est une histoire. Il y a un auteur, c'est celui qui fait l'histoire. Si tout le monde savait dessiner et écrire, on s'apercevrait que la BD est une écriture à part entière.
La première chose qu'on sait faire quand on est enfant, avant même de savoir écrire, c'est dessiner. Tout gamin, mon père me lisait des histoires le soir, et, pour lui rendre la pareille, je lui en dessinais d'autres. Puis je me suis aperçu qu'écrire en dessins était un métier.
J'écris de façon dessinée.
Mon manuscrit ressemble à un crayonné, l'essence même de l'écriture de BD.
Si vous souhaitez lire la suite vous pouvez vous procurer cette revue en la commandant ICI.
Merci à Jean Rodolphe de m'avoir fait parvenir un exemplaire de cette revue.
Propos recueillis par Richard Watt.
Entretien avec Emile Bravo, de la page 22 à la page 24.
La jeunesse de Spirou enfin dévoilé.
BRAVO des deux mains...
Extraits:
Une écriture graphique: j'utilise une technique assez simple, une espèce de ligne claire, c'est à dire tout simplement un texte et un dessin qui sont indissociables, et une histoire claire.
Quand on épure le dessin, en enlevant toutes les fioritures qui nuisent à la lisibilité et à la fluidité de l'histoire, cela donne souvent un dessin qui peut s'apparenter à ce que les gens conçoivent comme étant de la ligne claire "graphique". Mais le dessin est comme ça uniquement parce qu'il est au service du texte. Et vice-versa.
Pour moi c'est de l'écriture, de l'écriture graphique.
La case départ: Quand j'ai commencé à faire de la bande dessinée, j'ai écouté ce que disait Hergé.
Ses cases faisaient à peu près neuf centimètres de hauteur. J'ai trouvé que c'était une bonne échelle pour travailler.
S'il y a beaucoup de cases dans mes planches, c'est que, pour moi, un récit doit être dense.
Souvent, en BD, les auteurs se plaignent de n'avoir pas assez de place pour raconter leur histoire.
Pour "Le journal d'un ingénu", j'avais carte blanche pour le nombre de planches. J'en ai fait 63, chacune comportant quatre bandes, comme dans "Jules". J'ai pris l'habitude de dessiner de petites cases.
L'essence de la BD: Je trouve absurde de dire que la bande dessinée c'est un scénariste et un dessinateur. Pour moi, une bande dessinée c'est une histoire. Il y a un auteur, c'est celui qui fait l'histoire. Si tout le monde savait dessiner et écrire, on s'apercevrait que la BD est une écriture à part entière.
La première chose qu'on sait faire quand on est enfant, avant même de savoir écrire, c'est dessiner. Tout gamin, mon père me lisait des histoires le soir, et, pour lui rendre la pareille, je lui en dessinais d'autres. Puis je me suis aperçu qu'écrire en dessins était un métier.
J'écris de façon dessinée.
Mon manuscrit ressemble à un crayonné, l'essence même de l'écriture de BD.
Si vous souhaitez lire la suite vous pouvez vous procurer cette revue en la commandant ICI.
Merci à Jean Rodolphe de m'avoir fait parvenir un exemplaire de cette revue.
vendredi 11 décembre 2009
Tintin le retour... Hors Série du Monde de décembre 2009. (2)
Ce qu'en disent les dessinateurs d'aujourd'hui.
Propos recueillis par Frédéric Potet.
Entretien avec Émile Bravo (Extrait)
C'est en lisant le livre d'entretiens qu'il avait accordés à Numa Sadoul que j'ai vraiment compris le travail d'Hergé. Tintin avait baigné mon enfance.
Et puis, adolescent, je m'en étais éloigné, le trouvant trop rigide et trop politiquement correct.
Mais après la lecture de cet ouvrage, mon regard a changé vis-à-vis de cette forme d'écriture incroyablement efficace qu'Hergé avait développée.
Sadoul lui demande à un moment s'il se reconnaît dans la définition de la ligne claire.
Hergé répond par la négative car, pour lui, tout dessin se doit d'être "clair" pour se mettre au service de la narration. Cela tenait de l'évidence pour lui.
Et il avait raison.
Je n'ai jamais été très porté sur l'esthétisme en bande dessinée. Quand on est gamin, il faut une certaine éducation pour comprendre l'esthétisme.
Avant d'être belle, une BD doit d'abord être limpide et intelligible; on devrait presque pouvoir la lire sans les bulles, comme je le faisais sur les genoux de mon père quand il me racontait des histoires.
Et l'humour ne peut pas être une fin en soi.
Il ne sert qu'à alimenter et alléger un récit. C'est pour cela que je place Hergé aux côtés de Chaplin. Chez ces grands conteurs,la dérision permet de faire passer des messages sérieux ou tristes. Il y a là une distance à trouver entre la gravité et l'humour.
Généralement, les humoristes vieillissent mal. Sauf quand il y a de la profondeur derrière.
Les gags deviennent alors universels.
Bien sûr, il m'est arrivé de faire des clins d'oeil à Hergé dans mes albums.
Dans le tome 2 de Jules, par exemple, j'ai dessiné un vieux Tintin qui, à l'inverse de l'original dans Les 7 boules de cristal, ne veut pas qu'on lise le journal par-dessus son épaule.
Mais c'est surtout dans mon Spirou, sorti en 2008, que je fais le plus clairement allusion à Tintin...
Si vous souhaitez lire la suite, vous la trouverez dans le Hors Série du Monde "Tintin, le retour" du mois de novembre 2009, numéro 17.
Propos recueillis par Frédéric Potet.
Entretien avec Émile Bravo (Extrait)
C'est en lisant le livre d'entretiens qu'il avait accordés à Numa Sadoul que j'ai vraiment compris le travail d'Hergé. Tintin avait baigné mon enfance.
Et puis, adolescent, je m'en étais éloigné, le trouvant trop rigide et trop politiquement correct.
Mais après la lecture de cet ouvrage, mon regard a changé vis-à-vis de cette forme d'écriture incroyablement efficace qu'Hergé avait développée.
Sadoul lui demande à un moment s'il se reconnaît dans la définition de la ligne claire.
Hergé répond par la négative car, pour lui, tout dessin se doit d'être "clair" pour se mettre au service de la narration. Cela tenait de l'évidence pour lui.
Et il avait raison.
Je n'ai jamais été très porté sur l'esthétisme en bande dessinée. Quand on est gamin, il faut une certaine éducation pour comprendre l'esthétisme.
Avant d'être belle, une BD doit d'abord être limpide et intelligible; on devrait presque pouvoir la lire sans les bulles, comme je le faisais sur les genoux de mon père quand il me racontait des histoires.
Et l'humour ne peut pas être une fin en soi.
Il ne sert qu'à alimenter et alléger un récit. C'est pour cela que je place Hergé aux côtés de Chaplin. Chez ces grands conteurs,la dérision permet de faire passer des messages sérieux ou tristes. Il y a là une distance à trouver entre la gravité et l'humour.
Généralement, les humoristes vieillissent mal. Sauf quand il y a de la profondeur derrière.
Les gags deviennent alors universels.
Bien sûr, il m'est arrivé de faire des clins d'oeil à Hergé dans mes albums.
Dans le tome 2 de Jules, par exemple, j'ai dessiné un vieux Tintin qui, à l'inverse de l'original dans Les 7 boules de cristal, ne veut pas qu'on lise le journal par-dessus son épaule.
Mais c'est surtout dans mon Spirou, sorti en 2008, que je fais le plus clairement allusion à Tintin...
Si vous souhaitez lire la suite, vous la trouverez dans le Hors Série du Monde "Tintin, le retour" du mois de novembre 2009, numéro 17.
jeudi 10 décembre 2009
Tintin le retour... Hors Série du Monde de décembre 2009. (1)
Source
BD Gest
Tintin, le personnage mythique d’Hergé créé il y a 80 ans, s’apprête à conquérir l’Amérique et l’Asie sur grand écran. Un défi pour ce héros de BD très apprécié en Europe et dans les pays du Commonwealth mais peu connu ailleurs.
En exclusivité pour ce hors série, les réalisateurs Steven Spielberg et Peter Jackson, enthousiastes tintinophiles, dévoilent les ambitions de leur trilogie, dont le premier volet, Le Secret de la Licorne, est en postproduction. Seul réalisateur à trouver grâce aux yeux d’Hergé de son vivant, Steven Spielberg et son co-producteur expliquent comment ils entendent relever un double défi : « interpréter » au cinéma l’œuvre d’Hergé avec une technologie d’avant-garde (la « capture de mouvement » digérée par de puissants ordinateurs) et propulser Tintin au rang de héros mondial.
A cette occasion, le hors série revient sur le parcours d’Hergé, figure tutélaire de la bande dessinée, sur la géopolitique de ses 24 albums décryptée par Hubert Védrine, sur son art graphique commenté par les grands noms contemporains de la BD et sur l’engouement que suscite toujours son œuvre en Europe, chez les « tintinophiles » célèbres notamment.
Tintin renaît aussi au musée Hergé inauguré récemment près de Bruxelles. En exclusivité le hors série présente des photos de ce remarquable musée dont Christian de Portzamparc nous raconte la conception.
Intervention notamment: de Olivier Schwartz, Stanislas, Émile Bravo et Plantu.
Tintin, le personnage mythique d’Hergé créé il y a 80 ans, s’apprête à conquérir l’Amérique et l’Asie sur grand écran. Un défi pour ce héros de BD très apprécié en Europe et dans les pays du Commonwealth mais peu connu ailleurs.
En exclusivité pour ce hors série, les réalisateurs Steven Spielberg et Peter Jackson, enthousiastes tintinophiles, dévoilent les ambitions de leur trilogie, dont le premier volet, Le Secret de la Licorne, est en postproduction. Seul réalisateur à trouver grâce aux yeux d’Hergé de son vivant, Steven Spielberg et son co-producteur expliquent comment ils entendent relever un double défi : « interpréter » au cinéma l’œuvre d’Hergé avec une technologie d’avant-garde (la « capture de mouvement » digérée par de puissants ordinateurs) et propulser Tintin au rang de héros mondial.
A cette occasion, le hors série revient sur le parcours d’Hergé, figure tutélaire de la bande dessinée, sur la géopolitique de ses 24 albums décryptée par Hubert Védrine, sur son art graphique commenté par les grands noms contemporains de la BD et sur l’engouement que suscite toujours son œuvre en Europe, chez les « tintinophiles » célèbres notamment.
Tintin renaît aussi au musée Hergé inauguré récemment près de Bruxelles. En exclusivité le hors série présente des photos de ce remarquable musée dont Christian de Portzamparc nous raconte la conception.
Intervention notamment: de Olivier Schwartz, Stanislas, Émile Bravo et Plantu.
mercredi 9 décembre 2009
Grande kermesse des souvenirs qui s'estompent.
Source: Salon du livre
et de la presse jeunesse en seine-Saint-Denis
Pour la 25e édition du Salon, des artistes invités convient à leur tour d'autres artistes pour une grande fête de la création.
25 auteurs et illustrateurs choisis par le Salon invitent chacun un complice pour participer à des rencontres, des ateliers, lectures et débat... 25 illustrateurs convient leur héros d'enfance pour des fêtes tout en images dans une immense exposition.
Chacune de ces illustrations évoque une fête qui bat son plein, et dans laquelle chaque artiste invite les héros qui ont nourri son imaginaire d’enfance.
Ces images seront présentées dans le cadre d’une exposition collective pendant toute la durée du salon.
Pour se procurer cet ouvrage: Editions Magnier
Pour la 25e édition du Salon, des artistes invités convient à leur tour d'autres artistes pour une grande fête de la création.
25 auteurs et illustrateurs choisis par le Salon invitent chacun un complice pour participer à des rencontres, des ateliers, lectures et débat... 25 illustrateurs convient leur héros d'enfance pour des fêtes tout en images dans une immense exposition.
Chacune de ces illustrations évoque une fête qui bat son plein, et dans laquelle chaque artiste invite les héros qui ont nourri son imaginaire d’enfance.
Ces images seront présentées dans le cadre d’une exposition collective pendant toute la durée du salon.
A noter,
le livre édité en partenariat avec le CPLJ93 par la maison d'édition
Thierry Magnier, ce
cahier d'anniversaire (6€) pour les 25 ans du salon réunit les
travaux de 23 illustrateurs, Géraldine Alibeu, Gilles Bachelet, Ronan
Badel, serge Bloch, Betty Bone, Marc Boutavant,
Emile Bravo, Delphine Chedru, Nicole Claveloux,
Claudine Desmarteau, Gaëtan Dorémus, Aurélia Fronty, Aurélia Grandin,
Benoît Jacques, Martin Jarrie, Camille Jourdy, Benjamin
Lacombe, Aurore Petit, François Place, Rascal, François Roca, Tom
Schamp et Bastien Vivés dans le cadre de l'exposition Jubilo.
Un cahier festif où chacune des illustrations évoque une fête et où les participants sont les héros d'enfance des illustrateurs. Un cahier d'anniversaire personnel pour les illustrateurs mais qui deviendra rapidement celui du lecteur.
Un cahier festif où chacune des illustrations évoque une fête et où les participants sont les héros d'enfance des illustrateurs. Un cahier d'anniversaire personnel pour les illustrateurs mais qui deviendra rapidement celui du lecteur.
Pour se procurer cet ouvrage: Editions Magnier
dimanche 6 décembre 2009
La question du père... sur plan B(d)
Au Nom du Père, du Salsifis et du Sain
d'Esprit...
Excommunié par le magazine Okapi, l'épatant Jules (de l'irrévérencieux -?- Émile Bravo) fait son retour en kiosques cette semaine dans les pages de Spirou, en compagnie de son cochon d'Inde, de son crétin de frère, de son beauf' de père et de tout son petit monde plus vrai que nature.
Je me suis donc précipité pour acheter ce n° 3738 ; mais quelle déception en découvrant que l'épisode proposé n'est pas un inédit, mais "seulement" La Question du Père, le cinquième épisode de la série, post-publié donc.
Je ne suis pas contre le fait de faire re-découvrir le patrimoine des éditions Dupuis aux jeunes générations qui ne connaissent Billy the Cat, Boule et Bill, Lucky Luke et Spirou et Fantasio que via les dessins animés ; mais tout de même, La Question du Père n'est paru en album qu'en 2006, et chez Dargaud, d'ailleurs...
C'est peut-être un peu abuser de le mettre en une, non ?
Bon, ça ne sert à rien de ronchonner, La (catholiquement incorrecte) Question du Père reste mon Épatante Aventure de Jules préférée.
...
Si vous souhaitez connaître la suite de cet article allez visiter le site Plan B(d), réalisé par Totoche Tannenen, site à mettre d'urgence dans vos favoris, si vous ne le connaissiez pas....
... merci Krikri
Excommunié par le magazine Okapi, l'épatant Jules (de l'irrévérencieux -?- Émile Bravo) fait son retour en kiosques cette semaine dans les pages de Spirou, en compagnie de son cochon d'Inde, de son crétin de frère, de son beauf' de père et de tout son petit monde plus vrai que nature.
Je me suis donc précipité pour acheter ce n° 3738 ; mais quelle déception en découvrant que l'épisode proposé n'est pas un inédit, mais "seulement" La Question du Père, le cinquième épisode de la série, post-publié donc.
Je ne suis pas contre le fait de faire re-découvrir le patrimoine des éditions Dupuis aux jeunes générations qui ne connaissent Billy the Cat, Boule et Bill, Lucky Luke et Spirou et Fantasio que via les dessins animés ; mais tout de même, La Question du Père n'est paru en album qu'en 2006, et chez Dargaud, d'ailleurs...
C'est peut-être un peu abuser de le mettre en une, non ?
Bon, ça ne sert à rien de ronchonner, La (catholiquement incorrecte) Question du Père reste mon Épatante Aventure de Jules préférée.
...
Si vous souhaitez connaître la suite de cet article allez visiter le site Plan B(d), réalisé par Totoche Tannenen, site à mettre d'urgence dans vos favoris, si vous ne le connaissiez pas....
... merci Krikri
samedi 5 décembre 2009
Jean-Christophe Caurette, photographe pour Strasbulles.
Photos réalisées par Jean Christophe Caurette, photographe professionnel, mais aussi photographe officiel du festival de BD
"Strasbulles" à Strasbourg, lors d'une visite de l'atelier d'Emile bravo à Paris.
Crédit Photo: Jean-Christophe Caurette - Strasbulles
Son site: Optima Photos
Crédit Photo: Jean-Christophe Caurette - Strasbulles
Son site: Optima Photos
vendredi 4 décembre 2009
Astrapi n° 697
Une image extraite du périodique Astrapi n° 697.
Rubrique Truc à savoir page 30.
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
Rubrique Truc à savoir page 30.
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