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Rubrique Truc à savoir page 36.
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mardi 13 octobre 2009
Le chat du Rabbin.... par Emile bravo!!
Lettre de Joann Sfar, du 30 Janvier 2007 trouvé sur les nouvelles de Joann. (Merci Marcel )
Cher site internet,
Je voulais faire un compte rendu rigolo du festival d’Angoulème.
C’était une édition réjouissante et le président Lewis avait bien fait les choses.
Mes copains avaient beaucoup insisté pour que j’assiste à la remise des prix, en me disant qu’il y aurait une surprise.
Et avant de remettre les trophées officiels, Lewis a expliqué dans son micro que comme le dernier chat était sorti trop tard pour être dans la sélection il avait souhaité décerner un prix au meilleur dessinateur du chat du rabbin de l’année.
On a alors vu défiler sur l’écran, aux côtés de mon vrai album, des fausses couvertures dessinées par Émile Bravo, David B, Christophe Blain, Emmanuel Guibert, Mathieu Sapin et Riad Sattouf, je vous laisse les découvrir. C’est le genre de couillonnades que j’aurais attendu pour un cadeau d’anniversaire. J’aime bien l’idée que Lewis mobilise toute une salle de conférences pour faire des blagues à ses copains.
Aussi j’étais ravi que Shigeru Mizuki soit distingué, car son livre est une merveille.
Surtout, comme toute la salle, j’ai été ému de voir Didier Lefevre venir chercher le prix attribué au PHOTOGRAPHE, d’Emmanuel Guibert et Frederic Lemercier.
Didier Lefevre était plus du genre à applaudir les autres qu’à se donner en spectacle. Son métier c’était de photographier les gens, de les faire connaître.
Il regardait ses semblables avec tendresse et intelligence, en Afghanistan, au Rwanda ou à une table avec nous, parfois il sortait son appareil et il gardait trace de moments éclairants. Il était intimidé d’aller chercher son prix mais comme Emmanuel n’était pas là, Didier a fait un discours impeccable, parce qu’il parlait au nom de ses amis.
Parce qu’il savait que son album faisait rayonner le travail de ces Médecins Sans Frontières dont il était si fier.
Il savait qu’Emmanuel n’était pas à Angoulème mais il lui parlait pourtant, à travers le micro. Il lui disait merci pour les trois albums ensemble. Je crois qu’il était comblé. Parmi des jeunes gens à qui le président Lewis a dû dire « essayez de sourire » quand ils ont eu leur prix, la joie de Didier faisait plaisir à voir. Il a eu un geste de sportif, avant de quitter l’estrade : il a tenu son trophée à bout de bras, sans arrogance ni triomphalisme, c’était juste un mouvement de joie. Je crois qu’à l’image d’Emile, Christophe, Mathieu, Riad et moi, toute la salle était émue de voir récompensé ce Tintin contemporain, cet aventurier courageux qu’on admirait tous pour avoir consacré sa vie à aller au bout du monde chercher des regards fraternels. Oui comme émotion ça nous aurait suffi.
Ensuite Émile a fait la fête avec Didier.
Et trois jours après nous apprenons que Didier n’est plus là.
La première fois que j’ai été confronté à la mort et que j’ai été en état de questionner, je suis allé voir mon rabbin. Je m’attendais à ce qu’il me dise des mots rassurants et au petit garçon que j’étais le rabbin en colère a dit « que veux-tu, la mort est un scandale, tous les jours je m’en plains à l’Eternel, je ne peux rien faire de plus ». je crois que je lui ai été reconnaissant de cet aveu d’impuissance. Je voulais raconter cette soirée parce que je crois que Didier était vraiment heureux d’être là. Je crois que nous sommes nombreux à penser à lui. Nous sommes nombreux qui aurions aimé fêter avec lui cette distinction méritée. Ca n’est pas à moi de parler de Didier car je ne le connaissais pas autant qu’Emmanuel, je voudrais juste qu’en lisant les albums du PHOTOGRAPHE les gens se rappellent que le personnage de ce livre était de chair et de sang. C’était l’ami de mon ami et il méritait tout l’amour qu’on peut éprouver pour le héros d’une grande aventure. Je crois que dans certaines vignes on lèvera un verre à la mémoire du PHOTOGRAPHE. Salut fraternel à sa famille, à ses amis, à ses anciens compagnons de MSF. Merci à Emmanuel Guibert de nous avoir fait partager un des voyages de Didier Lefevre.
Joann
Cher site internet,
Je voulais faire un compte rendu rigolo du festival d’Angoulème.
C’était une édition réjouissante et le président Lewis avait bien fait les choses.
Mes copains avaient beaucoup insisté pour que j’assiste à la remise des prix, en me disant qu’il y aurait une surprise.
Et avant de remettre les trophées officiels, Lewis a expliqué dans son micro que comme le dernier chat était sorti trop tard pour être dans la sélection il avait souhaité décerner un prix au meilleur dessinateur du chat du rabbin de l’année.
On a alors vu défiler sur l’écran, aux côtés de mon vrai album, des fausses couvertures dessinées par Émile Bravo, David B, Christophe Blain, Emmanuel Guibert, Mathieu Sapin et Riad Sattouf, je vous laisse les découvrir. C’est le genre de couillonnades que j’aurais attendu pour un cadeau d’anniversaire. J’aime bien l’idée que Lewis mobilise toute une salle de conférences pour faire des blagues à ses copains.
Aussi j’étais ravi que Shigeru Mizuki soit distingué, car son livre est une merveille.
Surtout, comme toute la salle, j’ai été ému de voir Didier Lefevre venir chercher le prix attribué au PHOTOGRAPHE, d’Emmanuel Guibert et Frederic Lemercier.
Didier Lefevre était plus du genre à applaudir les autres qu’à se donner en spectacle. Son métier c’était de photographier les gens, de les faire connaître.
Il regardait ses semblables avec tendresse et intelligence, en Afghanistan, au Rwanda ou à une table avec nous, parfois il sortait son appareil et il gardait trace de moments éclairants. Il était intimidé d’aller chercher son prix mais comme Emmanuel n’était pas là, Didier a fait un discours impeccable, parce qu’il parlait au nom de ses amis.
Parce qu’il savait que son album faisait rayonner le travail de ces Médecins Sans Frontières dont il était si fier.
Il savait qu’Emmanuel n’était pas à Angoulème mais il lui parlait pourtant, à travers le micro. Il lui disait merci pour les trois albums ensemble. Je crois qu’il était comblé. Parmi des jeunes gens à qui le président Lewis a dû dire « essayez de sourire » quand ils ont eu leur prix, la joie de Didier faisait plaisir à voir. Il a eu un geste de sportif, avant de quitter l’estrade : il a tenu son trophée à bout de bras, sans arrogance ni triomphalisme, c’était juste un mouvement de joie. Je crois qu’à l’image d’Emile, Christophe, Mathieu, Riad et moi, toute la salle était émue de voir récompensé ce Tintin contemporain, cet aventurier courageux qu’on admirait tous pour avoir consacré sa vie à aller au bout du monde chercher des regards fraternels. Oui comme émotion ça nous aurait suffi.
Ensuite Émile a fait la fête avec Didier.
Et trois jours après nous apprenons que Didier n’est plus là.
La première fois que j’ai été confronté à la mort et que j’ai été en état de questionner, je suis allé voir mon rabbin. Je m’attendais à ce qu’il me dise des mots rassurants et au petit garçon que j’étais le rabbin en colère a dit « que veux-tu, la mort est un scandale, tous les jours je m’en plains à l’Eternel, je ne peux rien faire de plus ». je crois que je lui ai été reconnaissant de cet aveu d’impuissance. Je voulais raconter cette soirée parce que je crois que Didier était vraiment heureux d’être là. Je crois que nous sommes nombreux à penser à lui. Nous sommes nombreux qui aurions aimé fêter avec lui cette distinction méritée. Ca n’est pas à moi de parler de Didier car je ne le connaissais pas autant qu’Emmanuel, je voudrais juste qu’en lisant les albums du PHOTOGRAPHE les gens se rappellent que le personnage de ce livre était de chair et de sang. C’était l’ami de mon ami et il méritait tout l’amour qu’on peut éprouver pour le héros d’une grande aventure. Je crois que dans certaines vignes on lèvera un verre à la mémoire du PHOTOGRAPHE. Salut fraternel à sa famille, à ses amis, à ses anciens compagnons de MSF. Merci à Emmanuel Guibert de nous avoir fait partager un des voyages de Didier Lefevre.
Joann
lundi 12 octobre 2009
Etiquettes
Nouvel envoi de Basil, une étiquette de Miellées Gourmandes aux noix du Périgord.
Conçue par Jean-Philippe Crouzet, en 2002
Sur le site les artistes en cave
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Étiquette de vin, conçue par Jean-Philippe Crouzet, en 1997
Conçue par Jean-Philippe Crouzet, en 2002
Sur le site les artistes en cave
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Étiquette de vin, conçue par Jean-Philippe Crouzet, en 1997
dimanche 11 octobre 2009
Tous coupables! ...
Après la parution en 2001 du livre Vos papiers ! Que faire face à la police ?
et suite à la plainte déposée par
Daniel Vaillant, es-qualité ministre de l'intérieur (plainte relayée
par les ministère Sarkozy, puis Villepin, puis Sarkozy), ont été
condamnés le 18 janvier 2007 :
– Le dessinateur Placid, à 500 euros d'amende, pour « injures publiques envers une administration publique, en l'occurrence la police nationale », pour avoir dessiné un policier, aux traits jugés porcins, en couverture de l'ouvrage.
– L'auteur du texte, Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature, à 800 euros d'amende pour « diffamation publique envers une administration publique, en l'occurrence la police nationale », pour avoir écrit cette phrase dans l'introduction : « Les contrôles d'identité au faciès, bien que prohibés par la loi, sont non seulement monnaie courante, mais se multiplient ».
– L'éditeur, Michel Sitbon (L'Esprit Frappeur), à 1 000 euros d'amende pour complicité avec Placid dans le délit d'injure, et complicité avec Clément Schouler dans le délit de diffamation.
Considérant
qu'il s'agit d'une triple atteinte à trois libertés fondamentales que
sont la liberté de création, la liberté
d'information et la liberté d'édition, des dessinateurs, photographes,
artistes, journalistes, auteurs et éditeurs ont crée le collectif Les
cochons enragés et publié Tous coupables, recueil de
contributions écrites et dessinées sur les thèmes visés par cette
condamnation. Les éditions Rackham adhèrent à cette initiative et
co-éditent le livre
– Le dessinateur Placid, à 500 euros d'amende, pour « injures publiques envers une administration publique, en l'occurrence la police nationale », pour avoir dessiné un policier, aux traits jugés porcins, en couverture de l'ouvrage.
– L'auteur du texte, Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature, à 800 euros d'amende pour « diffamation publique envers une administration publique, en l'occurrence la police nationale », pour avoir écrit cette phrase dans l'introduction : « Les contrôles d'identité au faciès, bien que prohibés par la loi, sont non seulement monnaie courante, mais se multiplient ».
– L'éditeur, Michel Sitbon (L'Esprit Frappeur), à 1 000 euros d'amende pour complicité avec Placid dans le délit d'injure, et complicité avec Clément Schouler dans le délit de diffamation.
Tous coupables ! (format cm 16,5 x 24,5 - 364 pages en noir et blanc) est vendu au public au prix de 16 Euros.
LES AUTEURS
Peggy
Adam, Adão, Yvan Alagbé, Gabriel Alégria, Alf, Alfred, Alexis Allard,
Alx, Jérome Anfré, Frédérique Angoulvent, David Aram,
Diego Aranega, Aurel, Aurélia Aurita, Axel, François Ayroles, Babouse,
Baladi, Baldo, Ballouhey, Clément Baloup, Honoré de Balzac, Noémie
Barsolle, Barros, Martes Bathori, Laurent Battistini,
Alexis Bauclair, Baudouin, Sébastien Bauer, Arnaud Baumann, Bearboz,
Beb Deum, Joseph Béhé, Belpaire, Layla Benabid, Bench, Marcelle
Benhamou, Benjamin, Benji, Claude Benz, Berbérian, Berth,
Antoine Bertin, Frédérique Bertrand, Biz, Christophe Blanc, Blexbolex,
Serge Bloch, Anaïs Blondet, Léon Bloy, Blutch, Jérôme Boche, Isabelle
Boinot, Denis Bourdaud, Jean Bourguignon, Eric Bosley,
Brac'emi, Emile Bravo, Laetitia Brochier, Olivier
Bron, Ivan Brun, Bschwartz, Pierre Bunk, Prospero Buri, Caillou &
Cizo, Michel Cambon, Captain Cavern, Caritte, Caro, Cathy,
Eric Cartier, Cattelain, Caza, Florence Cestac, Cha, Chalvin, Chaostic
Lee, Till Charlier, Charmag, Gilles Charrot, Frank Chartron, Chaumaz,
Chester, Chibrolo, Gilles Ciment, Mathieu Colloghan,
Cindy Cookie, Corre, Jean-Luc Coudrat, Philippe Coudray, Al Coutelis,
Couty, Nicolas de Crécy, Crozon, Fanny Dalle-Rive, Xavier Dauga, Antoine
Dauzou, Dav, David B, Davodeau, Davoust, Guillaume
Degé, Deligne, Deloire, Jean-Claude Denis, Matthieu Desjardins,
Desmarteau, Bertrand Dhellemes, Richard Di Martino, Djanfcharlyn, Doc
Jpp, Docteur C, Domas, Domon, Gaëtan Dorémus, Drochon, Pascal
Doury, Claude Dubois, Laure Dufaye, Duffour & Kelvin, Jean-Yves
Duhoo, Dumont, Dupré La Tour, Charles Dutertre, Hunt Emerson, Florence
Emiko, Enzo, Epk, Esk, Fabcaro, Fab Crobard, Faber, Fanch
Ar Ruz, Quentin Faucompré, Faujour, Fawzi, Felder, Fernandez, Fertel,
Finzo, Frédéric Fleury, Arnaud Floc'h, Catherine Fradier, Fredox,
Freedbee, Gab, Gael, Anne Gallet, Manuel Garcia, Ticuel
Gasto, Gébé, Gerbaud, Paul Gendrot, Sylvain Gérand, Jochen Gerner,
Gicquel, Gil, Stéphane Girod, Glorb, Gnot, Guedin, Gomé, Jérôme Gorgeot,
Patrick Goulesque, Gr!, Grandepan, Pascal Gros, Georg
Grosz, Le Groupe Claaaaaash, J.-M. Gruet, Guérineau, Guibz, Thierry
Guitard, Henne, Hephez, Herriman, Inhuman, Isa, Jampur Fraize, Jef,
J.F.L.D., Jiho, Jocelin, Joko, Gustave-Henri Jossot, Bernard
Joubert, Julien/Cdm, Nicolas Junker, Jürg, Férid Kaddour, Alexandre
Kha, Khadavali, Kichka, Killoffer, Kiki, Koto, Koton, Kündig, Guillaume
Lab, Lacan, Nicolas de La Casinière, Laerte, Lagautrière,
Lapouar, Lionel Larchevêque, Larbi, Lareneg, Lasserpe, Lauber, Laul,
Philippe Leconte, Lecroart, Lefred-Thouron, Lehmann, Régis Lejonc,
Jean-Marie Le Pen, Olivier Le Trouher, Bruno Levno,
Lindingre, LioL, L de Mars, Michel Loiseau, Lolmède, Guillaume Long,
Bruno Loth, Xavier Löwenthal, Luz, Olivier Mabic, Piercarlo Macchi &
Luciano Milano, Mad, Madmeg, Mael, Dominique Maes,
Maester, Matt Mahlen, Rémi Malingrey, Daniel Mallerin, Mandragore,
Manu, Sébastien Marchal, Frank Margerin, Marine, Andy Martin, Eric
Martin, Donatien Mary, Mattt Konture, Max, M. Culbuto,
Jean-Christophe Menu, Meunier, Mezzo, Mini Cécile, Mohamed Moizie,
Monsiieur Pop, Morvandiau, Ricardo Mosner, Mric, Mutio, Muzo,
Napolitano, Naz, Ness, Nikol, Nono Kadaver, Stéphane Oiry, François
Olislaeger, Ougen, Pierre Ouin, Parlange, Carine Parola, Peltier,
Nancy Peña, J.-M. Perchet, Jm Perrin, Renaud Perrin, Benoît Perroud,
Laurent Petit, Pic, Matthias Picard, Picha, Pichelin &
Guerse, Pichon, Pixel Vengeur, Placid, Pierre Plume, Frédéric
Poincelet, Popay, Lanig Prima, Professeur Choron, Manolo Prolo, P'tit
Luc, Clément Quaquin, Michel Quarez, Arnaud Rafaelian, Maêl
Rannou, Rémi, Bruno Richard, Rimka, Denis Robert, Arnaud Robin,
Michèle Robine, Rocco, Ruppert & Mulot, Pierre Samson, Samson,
Vincent Sardon, Charlie Schlingo, Schvartz, Serge D, Sergégé,
Shelton, Siné, Skaliti, Michel Sitbon, Fred Sochard, Sofi, Vincent
Sorel, Stéphane Soularue, Ralph Soupault, Sp Truptin, Sri Beubeu, Studio
Logié, Syndicat de la Magistrature, Taga, Tanquerelle,
Pacôme Thiellement, Thiriet, Tignous, Tomagibo, Tomahawk, Tom de
Pékin, Delfeil de Ton, Touïs, T'toche, Tüss, Unter Filak, Anne Van Der
Linden, Vanoli, Jacques Velay, Thomas Vieille, Frédéric
Voisin, Vormori, Wagner, Willem, Yoann B, Yvan G, Zab, Zan, Zou.Émile Bravo est intervenu à la page 178, avec 6 images, hors cadre, et une petite histoire sous forme de satire sociale.
samedi 10 octobre 2009
Illustrissimo
Toujours Basil qui m'a adressé quelques scans d'un catalogue paru en 1994 :
Illustrissimo.
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
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Fever, la rencontre ultime... France - Japon-Corée.
Fever, la rencontre ultime. France - Japon-Corée
Editions Tonkam - 2002
Le Synopsis.
À l'occasion de la dernière coupe du monde de football, une formation franco-japonaise inattendue a fait vibrer les amateurs d'art séquentiel et de ballon rond.
Les éditions Tonkam ont participé, en exclusivité, à la sortie mondiale d'un recueil exclusif réunissant de prestigieux dessinateurs autour du grand événement sur gazon de l'été 2002.
Côté Japon : Katsuhiro Otomo (Akira), Takehiko Inoue (Slam Dunk), Hiroyuki Asada (I'll Génération Basket), Jiro Taniguchi (l'homme qui marche), Yoshikazu Yasuhiko (Venus Wars), Taiyo Matsumoto (Amer Béton).
Côté Français : Emile Bravo (Jules), Nicolas de Crecy (Léon La Came), François Boucq (Jérôme Moucherot), Frédéric Boilet (l'épinard de Yukiko), Schuiten-Peeters (les cités obscures), Max Cabanes (Colin-Maillard).
Emile Bravo, a choisi de traiter le sujet de l'arbitrage.
Le nom de la nouvelle est : L'arbitre fait partie intégrante du jeu.
L'humour est omniprésent tout au long de ces 8 pages, quasiment sans parole.
Les aventures d'un arbitre, pendant un match, a qui il arrive toutes les mésaventures possible et imaginable avec un ballon rond...
Editions Tonkam - 2002
Le Synopsis.
À l'occasion de la dernière coupe du monde de football, une formation franco-japonaise inattendue a fait vibrer les amateurs d'art séquentiel et de ballon rond.
Les éditions Tonkam ont participé, en exclusivité, à la sortie mondiale d'un recueil exclusif réunissant de prestigieux dessinateurs autour du grand événement sur gazon de l'été 2002.
Côté Japon : Katsuhiro Otomo (Akira), Takehiko Inoue (Slam Dunk), Hiroyuki Asada (I'll Génération Basket), Jiro Taniguchi (l'homme qui marche), Yoshikazu Yasuhiko (Venus Wars), Taiyo Matsumoto (Amer Béton).
Côté Français : Emile Bravo (Jules), Nicolas de Crecy (Léon La Came), François Boucq (Jérôme Moucherot), Frédéric Boilet (l'épinard de Yukiko), Schuiten-Peeters (les cités obscures), Max Cabanes (Colin-Maillard).
Emile Bravo, a choisi de traiter le sujet de l'arbitrage.
Le nom de la nouvelle est : L'arbitre fait partie intégrante du jeu.
L'humour est omniprésent tout au long de ces 8 pages, quasiment sans parole.
Les aventures d'un arbitre, pendant un match, a qui il arrive toutes les mésaventures possible et imaginable avec un ballon rond...
vendredi 9 octobre 2009
Illustrissimo
Envoi de Basil, d'un catalogue paru en 1995/1996 Illustrissimo.
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jeudi 8 octobre 2009
Illustrissimo
Toujours un cadeau de Basil, catalogue paru en 1995/1996 Illustrissimo.
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mercredi 7 octobre 2009
Illustrissimo
Aujourd'hui ouverture d'une nouvelle rubrique : Un jour... une image...
Je vais essayer de publier, en plus des rubriques habituelles, une image nouvelle chaque jour, tiré des nombreuses illustrations produites par Émile Bravo...
Pour commencer, un cadeau de Basil qui m'a adressé quelques scans d'un catalogue paru en 1995/1996 : Illustrissimo.
Chaque dossier d'illustrateur présente une photo de l'artiste enfant, accompagné par un dessin inédit : Kung Fu, l'agence ayant demandé à chacun des illustrateurs de représenter un souvenir d'un héros de leur enfance. Les suivants sont des réalisations faites avec l'agence.
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Je vais essayer de publier, en plus des rubriques habituelles, une image nouvelle chaque jour, tiré des nombreuses illustrations produites par Émile Bravo...
Pour commencer, un cadeau de Basil qui m'a adressé quelques scans d'un catalogue paru en 1995/1996 : Illustrissimo.
Chaque dossier d'illustrateur présente une photo de l'artiste enfant, accompagné par un dessin inédit : Kung Fu, l'agence ayant demandé à chacun des illustrateurs de représenter un souvenir d'un héros de leur enfance. Les suivants sont des réalisations faites avec l'agence.
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